Mariage de la Douce Zaza et du Tendre Agadir.

Une personne se glissa à pas feutrés sur son banc, en détournant la tête, elle la vit, un sourire joyeux s 'afficha à la commissure de ses lèvres, son amie Liti était présente.

La gaieté des retrouvailles s 'affichait sur chacun des visage :

- Liti tu es là, tu m 'as surprise pendant un de mes moment de rêverie, je regardais la beauté du lieu, l 'élégance des invités, tout n 'est que raffinement.

Menthe se pencha vers Liti en lui sussurant :

- Je suis heureuse que tu sois là, nous allons enfin pouvoir papoter tranquillement.

Machinalament de son sac, elle sortit un éventail, s 'éventa doucement le visage, l 'impatience de voir zaza se faisait cuisante.

Arrivée sur le parvis, la chapelle se dressa belle dans toute sa simplicité, Flamme huma l'air environnant et une douce effluve de lavande l'imprégna provenant certainement de la chapelle. Avec précaution elle franchit les marches menant à l'intérieur de l'édifice et constata que l'intérieur était bondé. Comment la retrouvée ? Avec précaution elle se faufila à l'intérieur et s'adressa à la
première personne sur sa droite.
-Pardonnez-moi Gente Dame connaitriez-vs Damme Litibar et sauriez-vs me menez juqu'à elle ?
-Oh! rien de plus facile Damoiselle, voyez là au 3ème rang, là à côté de cette jeune personne qui tient ce si ravissant éventail à la main et bien voici celle que vs chercher."
Flamme la remercia avec effusion, soulagée d'être si près du but. Le coeur battant, elle avança doucement mais avec difficulté, craignant de bousculer et de déranger mais elle était si émue de retouver sa soeur, tant d'émotions la submergeaient....Enfin, elle approcha et arriva derrière Litibar tout en s'excusant de s'introduire ainsi avec un tel culot, mais elle avait trop attendu ce moment. D'une lègére pression sur l'épaule, en murmurant son prénom elle vit Litibar se retourner, plongeant les yeux dans les siens, d'un seul regard tout était dit. Sans se préoccuper des personnes qui les entouraient, elles se serrrèrent dans les bras, toute à leur retrouvailles et d'un commun accord elles s'éclipsèrent discrètement à l'extèrieur de la chapelle pour s'assoir sur un banc de pierre. Des tilleuls si rares dans la région, et cela tenait du miracle, embaumaient l'air de cette fin de matinée et les abritaient du soleil, elles pouvaient enfin faire plus ample connaissance! Un calme, une sérénité résidait dans cet endroit idéal pour cet instant paraissant presque irréel....

Monseigneur se dirigeait donc vers l'Autel. Je pense que c'est le moment de commencer se dit il.

Ludovi fit un signe à Gabriel qui se trouvait près du narthex, à la verticale sous le clocher. Le jeune homme sonna rapidement les cloches, et se remit à sa place sans broncher.

L'office allait donc commencer. Ludovi n'attendait plus que le silence, que tout le monde se soit assis avant d'inviter le Fiancé à franchir le narthex.


Le calme s'était installé, Ludovi commença son office.

Mes frères, mes sœurs, enfants du créateur bienvenue en la Chapelle Saint Gabriel. Nous sommes réunis ce jour pour célébrer l'union de d'Agadir et de Zaza, deux jeunes gens profondément amoureux l'un l'autre. Ils ont souhaité prouver leur attachement devant le très haut, et le consacrer. Nous allons donc consacrer leur union devant le Très Haut.

Pour cela j'invite le fiancé à me rejoindre près de l'Autel.

domaine d'Auciello :

[i]le grand jour était enfin arrivé, les derniers préparatifs en place, elle allait enfin se marier, elle était fébrile, courait dans tout les sens, cherchant la moindre bricole, voulant la perfection, puis fini par se calmer, laissant Amélie l'aider à enfiler sa robe, serrer les cordons du corset, lui coupant presque la respiration, se faire brosser ses cheveux afin qu'ils deviennent lisses et soyeux, et maquillée pour relever l'éclat de ses yeux, elle pestait intérieurement, en se disant que de charivari pour juste une journée, mais quelle journée, intense en émotion.

puis s'assurant qu'on en avait fait autant pour sa fille et que celle-ci était majestueuse, elle avait pas voulu l'écarter de ce jour là, lui avait parler, expliquer le pourquoi du comment, et ce qu'elle devait faire.
une fois apprêtée pour la circonstance, elle sorti de sa chambre et après être assurée qu'Agadir n'était plus dans les lieux, elle se rendit dans l'allée puis grimpa dans la calèche qui l'attendait, accompagnée de Maëlle.



Chapelle d'Apt :

arrivée devant la chapelle, dernières recommandations à la fillette, l'embrassant tendrement, demandant à Amélie de l'accompagner jusqu'au seuil de l'édifice, la regardant de loin affectueusement faire son entrée.

Zaza à son tour descendit de l'attelage, fébrilement attendit la fin de la musique, signe que la petite était arrivée jusqu'au bout, normalement, si tout c'était bien déroulé.

se demandant qui était présent, remettant de l'ordre dans les froufrous de sa robe, qui la gênait plus qu'autre chose, elle qui n'avait pas l'habitude d'être entravée ainsi.

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un signe avait été donné, la musique résonna, inondant les lieux de son message, voila une grande respiration de prise, et elle avança, les mains de part et d'autre des pans de sa robe, les levant légèrement afin de faciliter sa marche , la tête et le buste droit, lentement, franchi le seuil de la chapelle, faisant un grand sourire radieux aux invités déjà présents, ses amies nouvelles et anciennes, ravie de voir Tyler, qui malgré ses réticences était là, honorée de voir son ami berrichon le seigneur de la Beausse, puis cherchant du regard son futur époux, elle mis un pied devant l'autre, foulant les pétales à terre, jusqu'à se placer auprès de son tendre, les joues rosissantes de joie, elle tourna la tête un instant vers sa sœur, la voyant en charmante compagnie, lui fit un sourire complice, envoya un baiser a sa fille, puis reporta son attention à l'archevêque et à son fiancé.

Après avoir embrassé tendrement sa nièce Bloudas sur la joue, et effleuré du bout des lèvres la main de Ladoce, Gabcha vit arriver Monseigneur Riri. Ce dernier, qui portait pour l'occasion l'émeraude Rethylienne, semblait satisfait du début de la cérémonie. Il tapait d’ailleurs sur l’épaule du Cianfarano…Seigneur Aristote, il avait de la force…Quand la mariée fit son entrée majestueuse…
Aussitôt, le Patriarche de la Famiglia se replaça au troisième rang, interceptant au passage des restes d’un bouquet de lavande qui avait atterri quasiment en face de lui…Il reconstruisit ce dernier avec Art et le posa juste avant aller de s’asseoir devant la Statue de Maria.
Ensuite, il fit un petit geste en direction des troubadours…Ceux-ci, comprenant l’ordre, continuèrent le programme musical. Secrètement, il dédia cet air à son neveu Fred et à sa femme Perperine.

Zarco entra en silence pour ne pas déranger, vêtu de la tenue des Gardians, fier de la porter, il resta debout à l'arrière de la chapelle attentif. Son oncle Gabcha lui avait demandé de passer, difficile de lui refuser, même si Agadir et Zarco....

Seul, car sachant que Callishane préférait rester à la maison avec les enfants, il faisait acte de présence pour la famille, les Cianfarano, mais surtout une certaine du Mystraal...

Son oncle lui avait parlé de certaines préocupations de sa tite soeur de sang... sa tite Bloudas... mais ne comprenant pas pourquoi elle lui cachait ceci... à lui son frère... Il lui avait pourtant expliquer qu'il l'avait abandonné une fois.. et les raisons... mais que plus jamais elle ne pourrais se défaire de lui... qu'il serait toujours là pour elle...

Il sourit aux quelques personnes ayant connaissance de son entrée et d'un signe de tête les salua, puis reprit son sérieux pour la suite de la cérémonie... se disant pouvoir discuter avec Bloudas après la cérémonie...

Mila avançait tranquillement sur les chemins. Exceptionnellement elle n'avait pas de retard et ce malgré qu'il lui avait fallu assimiler, se débarrasser de toutes ses obligations et se préparer, sans compter le trajet... Pourtant avec une bonne organisation elle y était arrivé et elle marchait paisiblement quand elle blêmit...

Elle avait oublié Yueel-Arystote. Cette écervelée de mère avait laissé son fils seul avec les chiens alors autant au début ça ne la gênait pas autant depuis qu'elle s'attachait à lui cela lui semblait invraisemblable.

Mila se retrouva bêtement à courir jusqu'Arles le récupérer en se maudissant.


Nom de nom je suis une mauvaise mère, même Poum doit mieux élever Guilhem que moi.


Du coup elle devait être en retard se dit-elle quand elle reprit le chemin son fils dans les bras vêtu de blanc. Elle fit donc une entrée discrète dans la chapelle persuadée de troubler la cérémonie. Elle aperçut pas mal de têtes connues quant une en particulier l'intrigua...

Pendant qu'elle cherchait où elle avait vue cette barbe et ce physique elle se rendit compte qu'elle n'avait finalement pas trop de retard... Et ça lui revint. Jamais trop discrète, pas de famille, Mila s'écria :


NORFFFFFFFFFFFFFFF DE NORFFFFFFFFFFF !!!

Un fieriste dans la salle !!!


Et de s'avancer vers le maire de Bourges en souriant.


Et bien cher berrichon, dit elle à Bubul en lui souriant, si je m'attendais à vous revoir. Je suis Mila, cousine de Poum, nous nous sommes vus au FIER et en gargote lorsque cet abruti de Renlie était duc.

Je ne savais pas que vous connaissiez le couple.

C'était le grand moment, la mariée fit son entrée, Le jeune Baron la regarda, elle était vraiment magnifique, heureux que se soit sa futur femme, belle comme une rose .. Elle s'approcha de lui et en retour il lui fit un grand sourire tout en lui chuchotant :


tu est Magnifique ma belle, lui sourit, à ce moment L'archevêque fit appeler Agadir, celui ci se dirigeât vers l'Autel et salua Son Parrain Comte Archevêque Ludovi


Monseigneur dit il d'une voix douce ..

keena arriva devant l'église, vétu de ses habits d'apparat. Elle pénétra dans l'église et aperçut immédiatement Agadir vêtu de son plus beau costume.

Elle se dirigea vers lui, lui fait une bise chaleureuse.

Agadir, tu es magnifique aujourd'hui. Merci de votre invitation. Félicitations pour ce jour merveilleux. Je vous souhaite beaucoup de bonheur et que vous soyez comblés tous les deux.

Elle se rendit ensuite vers une rangée de banc saluant au passage Yluxe, très en beauté.

Elle vit Gabcha et se dirigea vers lui.

Bonjour Gabcha, c'est toujours un plaisir de vous revoir, Comment vous portez vous ?


Elle salua ensuite Christine en la bisant doucement, en compagnie de son parrain et de la petite Maëlle.

Bonjoir Christine, Bonjour Messire. Quelle journée magnifique.

Elle aperçut Tyler et le bisa puis s'assit.