Rethy's and Gabcha's Compo

Missive magnifique de Zarco

Citation :

Bonjour père,

je ne veux vous déranger mais suite à une discution avec ma soeur, Bloudas, j'ai apprit certaines choses qui ont faites que je suis aujourd'hui incapable de garder sous silence et que je dois vous remercier.

Nous avons eu tout les deux, je devrais dire trois car Callishane était présente et de toute façon je l'aurais exiger... Bloudas m'a demander.. comment que... comme je m'en étais sortit après l'avoir laissé.

Je trouve qu'il serait bien que vous connaissiez l'histoire de votre fils vous aussi...

Dans les pays du nord, où la température est moins clémente qu'ici, on devait se préparer pour la dure saison et je travaillais avec père pour aider même avec mon jeune âge... Bloudas restait avec mère à la maison... Père a toujours été dur et sévère avec moi, me disant faire cela pour mon bien et me préparer pour affronter la vie des adultes. J'aurais aimer jouer avec les autres enfants du village, mais je restais pour travailler avec lui. De là surement mon côté sévère...

Un jour ils nous annoncèrent leur départ pour... pour...pour la guerre... Ils nous ont confié à cette famille, dont cette homme qui nous ignorait plus qu'autre chose... Mais avant de partir, j'ai vu une autre facette de notre père, dans ses yeux. Nous regardant tous les deux et nous remettant un médaillon en me demandant de prendre soins de Blou... ma tite soeur...

Nous avons vécu là jusqu'au jour où un homme en uniforme vint rencontrer celui qui s'occupait de nous. Même s'il m'avait demandé de partir plus loin, je m'étais caché et j'ai entendu la conversation... Il venait annoncer la mort de nos parents au combats.... Le soir même j'ai réveillé Bloudas et nous somme partit... nous nous sommes enfuit.

Nous avons rencontrer plusieurs caravanes et groupes qui nous ont aidé au début... mais plus on descendait vers le sud... moins nous en rencontrions... C'est là que je suis devenu moins sage... beaucoup moins sage... J'ai commencé à voler des écus et de la nouriture pour notre survie, mais surtout pour celle de Bloudas.

Jusqu'au jour où j'ai .. voulu voler un homme et dans la dispute quelque chose de plus grave est arrivé.... Et suite à cela on me recherchait...

N'ayant pas le choix, je devais protéger ma soeur et la seule façon était de nous séparer... car seulement moi étais recherché. Après avoir couru une bonne partie de la nuit avec Bloudas accroché sur mon dos, j'ai finalement apercu un château et l'ai laissé endormit près de la porte avec un fruit, une miche et quelques écus, ce qui me restait quoi...

Par la suite, je suis rester caché, à voyager de nuit et me nourrissant dans les potagers des paysans... Jusqu'à ce que je me trouve un petit travail chez un habitant ayant besoin pour la saison des récoltes. Une fois terminé, j'ai repris la route et enfin suis arrivé ici, à Forcalquier, où j'ai été accueillit et rencontrer des gens très bien...des personnes comme... Callishane et Ysabelle.

Et de mon arrivée au village à aujourd'hui, j'ai rencontré différentes épreuves et pertes... mais... la découverte que j'ai faites dernièrement, Bloudas avec le même médaillon que moi, celui que notre père nous avait confectionné, est un cadeau que j'espérais depuis si longtemps... Avant de la laissé, j'avais promis à Bloudas de la retrouver et bien voilà... elle est de nouveau près de moi...près de nous... ma tite soeur...

C'est en l'écoutant à son tour que j'ai appris que le château où je l'ai laissé était celui où vous habitiez. Vous et votre famille en avez pris soins, et gardé près de vous, jusqu'à ce qu'elle décide de voler de ses propres ailes.

De nous accepter dans votre famille est une grande chose qui me touche beaucoup. Mais d'apprendre que vous ayez prit soins de Bloudas...le temps que je me fasse oublier pour mes bêtise, je ne peux exprimer ce que je rescens et jamais je ne pourrai oublier ce geste de votre part, vous et votre famille.

[/i]

Mon fils , mon enfant

Il est temps à présent

De te remercier

Pour les mois de tendresses

Les semaines de caresses

Les jours de confidences



Les cicatrices du temps

S’éloignent au grand matin

Et on rend à la tombe

Les mystères du chagrin

Les éclats du passé

Ne sont que déchirures.



Moi, je me vois en toi

Dans tous tes détours

Et dans tous tes gestes



Dans la main qui se tord

Au creux de nos remords

Au vice de nos faiblesses



Et à chaque regard

Au détour du hasard

Lors des rencontres

De nos humeurs du soir

Sache que mes soucis

S’envolent dans la nuit.



Mon Fiston, mon Petit

Mon trésor, mon insolence

Tu es le sel de ma vie

Notre Grandeur est dans nos insomnies.



Mon fils, Mon enfant

Il est temps à présent

De te féliciter

Pour tes rires qui me touchent

Pour tes dires farouches

Pour ta franchise pure



Je te souhaite l’Envol,

La Création qui fuse

L’Amour et la Passion

Qui jamais ne rusent

L’équilibre du Nous

La Volupté des Fous.



Avec Amour,



Papounet.

Lettre de Perperine, reçue ce matin. J'ai vraiment eu énormément de peine en la lisant, mais je vais tout faire pour lui donner et de l'espérance et de l'amour.

Citation :

Coucou mon parrain,

J'espère que tu vas bien, et que tu fais le plein de petites pilules contenant des oranges prends bien soin de toi.

J'aimerais mon parrain te demander une faveur,je désire que tu entoures mon Amour de Fred. Je suis malade et toutes les 2 semaines je dois me rendre à l'hospice chez les moines pour suivre un traitement lourd à base de liquide de perlin pinpin ! L'odeur est forte et me fais beaucoup vomir, et je suis ensuite fatiguée par le traitement. J'ai aussi bien maigris et je suis cernée , vraiment pas belle à regardée c'est pourquoi je viens aussi moins en taverne Mon petit c�ur du sud à besoin de toi, il est triste et à besoin d'être réconforté. Quand à mes filles Cala est trop petite et ne sait rien, Loveane sait que je suis malade mais rien de plus. Je te confie mon gentil parrain, toute ma petite famille prends bien soin d'eux.
Fred m'entoure avec amour, et patience vraiment je l'adore, je suis très fière de lui sachant qu'il doit s'occuper des filles, de la mairie, de la forge, mais il doit aussi parler avec un ami toi qui est son père.

Du fond de mon c�ur merci.

Que Aristote veille sur toi.

Des gros bisous, je t'aime

Ta filleule Perperine

Ma Réponse...

Citation :

Ma Douce Filleule,

C’est avec énormément de tristesse que j’ai appris ta maladie. Comme tu dois être fatiguée ! La poudre de perlin pinpin présente beaucoup d’inconvénients, mais elle est super efficace : j’ai des amies qui l’ont utilisée et elles sont en pleine forme aujourd’hui. Maintenant, les moines toutes les deux semaines, c’est pas amusant comme le Port de Marseille ou les tavernes, mais c’est nécessaire.
Il ne faut pas avoir honte des effets de la poudre sur le corps : certes , on mincit, et parfois on a des cernes. Mais tu as toujours été très très belle, et nous toutes et tous ici on te voit toujours de cette façon !
Je te jure que pendant ton absence, je vais m’occuper de Fred, le Très Beau Cœur du Sud, de Loveane et de Tite. Je ne puis en revanche rien te promettre pour la forge…Avec moi, elle risque d’exploser !Mais je pourrai toujours porter des ustensiles, des marteaux et tous les outils nécessaires à son Art.
En ce qui concerne ta robe de mariée, j’en ai fait trois, mais je les ai toutes ratées ! Tu ressemblais à une meringue ou une choucroute ! Mais pas de panique ! J’ai du talent et je vais me remettre à l’ouvrage !
Je t’embrasse très très fort, Ma Douce Filleule. Je vais prier pour toi le Très Haut, afin qu’il te guérisse très rapidement. Je vais faire en sorte que Fred retrouve le sourire…Et surtout…Je t’aime et je t’attends avec impatience dans notre belle cité !
Bisous tendres, Ma Très Belle,
Parrain Rethy.

Réponse de Perperine

Citation :

Mon gentil parrain

Merci pour ton message qui me fait très plaisir.
J'ai donnée à manger à ton pigeon très affamé par ce long voyage.
Je me réjouis de voir ma robe ne t'inquiète pas tu as le temps ! Je me demande quand Messire Richelieu pourra nous marier, je suis aussi contente que la chapelle soit bénie ainsi je pourrai allez prier et méditer.

Je te remercie pour tout, tu m'as bien réconforté.

Une toute belle journée bénie

Je t'embrasse très fort

Ta filleule qui t'aime

Perperine .

Ma Réponse.

Citation :

Coucou Ma Belle Filleule,

J'ai reçu ta gentille missive alors que mes couturières s'activaient pour finir un quatrième modèle de robe de mariée. Et oui, j'ai enfin pu trouver de l'inspiration...Tu trouveras ces premiers choix à Bonnieux...Mais ce n'est pas fini...Bloudas, ma Fille, s'active également.
La Chapelle va bientôt être consacrée...Monseigneur Richelieu lance actuellement la cérémonie, et nous allons pouvoir enfin prier en famille dans ce beau lieu. Il était temps!
Je suis heureux de t'avoir réconforté, et je t'embrasse très très fort...
Ton parrain qui t'aime.

Ma réponse à Tsin...

Citation :

Chère Amie,

En tant que Seigneur de Bonnieux et de ses dépendances,
En tant que Journaliste amusé de l'Homo,
En tant qu'amoureux des belles âmes,
En tant qu'adorateur de la Mode et des Chapeaux,
En tant que versificateur parfois pâle, mais toujours Vrai,
En tant que Cianfarano, soit tordu, pervers, émotif, mais tendre,
En tant que moi,

J'exige,
J'ordonne,
Je veux,

Que vous viviez, que tu vives, et que nous vivions en bonne rigolade.

Et ce n'est point un caprice de ma part de vous affirmer que ta mort m'emmerderait grandement,

Bisous! Vive la Chair, non aux os!

Ton Rethy.

En réponse aux propos suivants...

Citation :

Mon cher Rethy,


Je suis en train de trier pas mal d'affaires, de papiers et de lettres. Je vais beaucoup jeter. Cependant, si vous me le permettez, je souhaiterais que votre bibliothèque soit la dépositaire de quelques documents qui me sont précieux, que pourtant je ne veux plus garder près de moi pour des raisons qui vous seront bientôt découvertes mais que je ne me résignes pas à jeter.
Je vous confie donc ces documents sachant que vous en prendrez grand soin.

1ère lettre de Tsine à Kika le 17 septembre 1457 :
'Comme au bon vieux temps de la courtoisie entre amants...'

"Mon Cher Ami,

Comme il me sied en cet instant de vous faire partager mes tendres pensées.
Qu'elles s'envolent ainsi vers vous, et que vous les receviez en votre sein comme un écrin pour les préserver ;
Qu'elles vous charment le coeur telle une fleur à peine éclose, vous apaisent l'ame comme un baume de douceur, vous fassent frémir de désir à en partager le secret ;
Qu'elles soient le fil invisible qui resserrent nos liens tel le fil d'Ariane qui sauva Thésée et vous mènent sur le chemin de la vie, la voie de l'amour.

Tout mon etre se tend à penser à vous. Le souffle me manque à penser à vos baisers enflammés. Les palpitations de mon coeur deviennent incontrolables à songer à vos caresses, celles dont vous me gratifierez lors de nos retrouvailles.

Mon Tendre Amour, qu'il est doux pour moi de vous savoir à mes cotés, m'aidant à traverser les turpitudes de l'existence, étant une écoute attentive à mes désirs et attentes, une source de réconfort à travers mes larmes et la fontaine d'où jaillissent mes éclats de folie qui peuvent ainsi jaillir tels des gerbes d'eau fraiche.

Ô comme il est bon de pouvoir vous retrouver très bientot. J'en frémis par avance, rougissante telle l'ingénue que je suis mais impatiente et offerte à votre désir turgescent.

Peu me chaut les idées des trop bien pensants, leurs idéaux ne sont que vanité et futilité. Notre amour, solide comme un roc, est un fondement bien plus précieux à mes yeux et il ira se renforçant les jours, les semaines, les mois passant...

Mon Doux Ami, je nous souhaite tout le bonheur du monde dans l'univers que nous allons nous créer. Le souhaitez-vous aussi ?

Alors accompagnez mes reves et mes délires, devenez sage, devenez coquin mais tout en finesse et subtilité. Soyez vous, devenez autre. Que je devienne vous par ce coté tendre et amoureux qui vous habite, et soyez moi par cette folie qui me taraude. Soyons nous, unis pour toujours.

Que la force de mes sentiments vous accompagne et vous donne le courage de vous dépasser. Que la puissance de mes émotions vous transporte et vous aide à déplacer des montagnes.

Je vous aime Trésor, ne l'oubliez jamais !

La tendre Demoiselle qui règne désormais sur votre coeur... et votre vie !



2ème lettre de Kika à Tsine le 17 septembre : réponse


"Ma femme dit:

Citation:

La tendre Demoiselle qui règne désormais sur votre coeur... et votre vie !

Transmission de pensée? Sûrement!
J'étais en train de laisser un message sur ton profil...au même moment!"



3ème lettre de Tsine à Kika le 17 septembre : réponse


"/me arrive tenant un petit bout de lettre de rien du tout mais qui vaut de l'or à ses yeux. Le lui tend sans rien dire ; il y est écrit :

Citation:

Ma femme dit: Citation: La tendre Demoiselle qui règne désormais sur votre coeur... et votre vie !

"Ma femme dit: [citation]


/me lève les yeux vers lui, totalement interloquée, n'ayant plus une parole qui lui sorte du gosier. Il lui a coupé le sifflet !
/me penche un peu la tête, sourit béâtement, ouvre la bouche pour parler mais la referme et le scrute du regard, d'un air qui veut dire : Sois plus clair, qu'est-ce que ça veut dire ?"


4ème lettre de Tsine à Kika le 18 septembre : déclaration

"Comment peux-tu dire ça :

Citation:

T'aime fort..trés...ptet trop même...

[Citation] T'aime fort..trés...ptet trop même...

Citation:

T'aime fort..trés...ptet trop même...

????

Y a-t-il un "trop" à l'amour ? rhoooo

Te fairais-je peur ??? /me sourit
Craindrais-tu de devenir comme tous ces bisounours baveux de leur chérie qui les en fais devenir gaga ???

Dis... tu m'as toujours pas dis pour la petite lettre... et je veux l'entendre de ta bouche.... !


/me s'approche doucement de lui, le contourne, laisse glisser sa main le long de son ventre puis de ses hanches, passe dans son dos et dépose un baiser sur sa nuque en laissant un peu glisser la langue tout du long....

alors.... tu le craches ce morceau... ou ça aussi c'est ton jardin secret ? /me rit"


5ème lettre de Kika à Tsine le 15 octobre... 3 jours avant que... : réponse à 'Mélange des genres'

"Ma belle tchin!
Si content de t'avoir un peu pour moi...si déçu que cela ne dure que si peu...
Je ne suis pas loin...juste un peu au nord..;et de ce que je sais, le boulot ne va pas être nul et non avenu puisqu'on m'a tuyauté sur la venue d'un couple plutôt bien achalandé...
Quel taf ce job de bandit!
Bref...je rentre juste apres la nuit à venir...et là, on embarque pour l'Italie...si toute fois tu n'as pas honte de faire route avec moi (et le cousin zin-zin).
T'aime fort...ptet comme un fou en fait! "




Merci Cher Rethy de les enfermer dans un coffre fermé ou dans un livre inaccessible.

Je tiens à préciser que les circonstances qui m'amènent à vous faire ce dépôt rendent mon coeur triste et aigri et qu'à présent je hais celle qui est l'origine du désastre qui m'attend, et dont je sais pertinemment que vous comprendrez de qui il s'agit sans pouvoir pour le moment vous donner plus de détails.

Sachez également que ma cérémonie de baptême ne sera pas tout à fait celle qui était prévue... vous me comprendrez aisément, j'ai déjà bien du mal à avoir envie qu'elle ait lieu.

Sachez aussi, mon bel ami, que mes jours sont désormais comptés, la vie n'ayant plus aucun sens pour moi, la Provence m'écoeurant et l'acharnement d'une femme mariée sur le fiancé d'une autre ayant fait dépasser les bornes de mes limites de patience. D'une manière ou d'une autre je ne resterai pas...

J'espère que vous comprendrez ma décision, je ne peux supporter l'idée d'avoir perdu jusqu'à ma dignité, moi qui ai toujours respecté celle des autres.

J'ai beaucoup de plaisir à vous côtoyer, profitons-en avant qu'il ne soit trop tard...

Votre dévouée Tsine.

Réponse bien triste de Tsin...

Citation :

Mon cher ami,

qui eut cru, alors que nous ne nous connaissons que depuis si peu de temps en somme, que nous nous comprendrions autant et aurions tant d'affection mutuelle....

Tes propos mon Cher, me touchent au plus haut point. Cependant je suis fermement résolue à présent... ma douleur est immense : les vagues des océans inconnus me submergent et m'engloutissent ; les profondeurs abyssales ne sont pas encore assez profondément enfouies pour que je puisse y cacher ma douleur.
J'ai l'impression d'avoir le coeur et la tete prets à exploser ! Cela va vite devenir ingérable pour moi.
Et en plus, autant je peux le hair de toute mes forces pour le mal qu'il est en train de me faire, autant, parce que j'en comprends les raisons profondes à défaut de les accepter, je ne l'en aime qu'encore plus.

Ma vie ne me sert à rien si ce n'est pas pour la partager avec lui, tout est devenu insipide, un tonneaux de sel ne lui rendrait pas l'once d'un brin de saveur. Il est ce qu'il est mais je l'aime de tout mon etre. Chaque pore de ma peau respire pour lui, chaque souffle que j'exhale prend naissance dans le souffle de vie qu'il me communique, chacun de mes rires vit grace aux siens, sans lui je ne suis plus rien.
Etre là, près de lui mais sans plus pouvoir ni lui appartenir ni jouer avec lui est une pensée qui m'est insupportable ! Et partir ? mais pour où ? il est partout, sur toutes les routes, le moindre chemin... où que j'aille j'en retrouverai la trace. Et lui, il passera son temps à courir pour me fuir et éviter de croiser ma route. Est-ce cela que je désire ? Que neni !

Mon Ami vous comprendrez aisément mon désarroi et l'immensité de ma douleur qui brule en mes entrailles tel un feu de la St-Jean.
Pourriez-vous partager cette douleur et la vivre à ma place ? En ce cas je changerai d'idée. Mais point ne sera le cas.

Rassurez-vous, vous allez encore m'avoir à vos cotés quelques jours, profitons donc de ces instants bénis au lieu de nous déchirer.
Et ne fais pas ta tete de mule, tu sais bien que je serais plus tétue de toi !
N'ais-je pas une tete à chapeaux ? Une tete bien pleine pour porter tout ce qu'on lui pose dessus... sauf que là le fardeau dont m'a chargé mon Kika est trop lourd pour moi !

Allons allons, ne nous apesantissons pas sur ma déchéance et voyons la vie en la minute présente. Nous avons un projet commun très cher sur lequel je travaille d'arrache pied et qui me tient encore un peu en vie le temps de sa concrétisation finale : le musée de mon tendre Oursa.
Comme j'eus aimé qu'il fut mon parrain.... car meme mon bapteme ne m'intéresse plus désormais.

En effet ça n'a pas de sens de vouloir vouer sa vie au Seigneur quand on va sciemment la raccourcir allègrement de quelques années, quand on preche l'amour et qu'on ressent de la haine et qu'on doit faire bonne figure alors qu'on n'a qu'une envie : disparaitre !

Aides moi à trouver un sens à ma vie et je te promet de réfléchir à mon geste sans retour, mais je ne garantie pas que vous arriverez à me convaincre très cher !!!!

De toute façon, sois assuré d'une chose : tu m'auras toujours à tes cotés. Toi seul d'ailleurs pourra m'avoir en permanence et à la demande près de toi, très égoistement d'ailleurs. Ne dis-tu pas en effet que je suis une belle ame ?.... (/me esquisse un sourire de connivence). Je le suis, je vais le devenir et le resterai... peut-etre...

A très bientot mon ami et merci de tant vous préoccuper de moi, cela vraiment est un rafraichissement pour mon esprit et m'apaise un instant.

Baisers et caresses affectueuses

La Damoiselle au Chapeau, Tsine

Ma Réponse.

Citation :

Je renoue avec mon non!

C'est fou, c'est toujours les femmes qui saignent, et pas les Hommes qui disent aimer les femmes.

Donc, Moi Seigneur de Bonnieux, ordonne à Tsin, Roturière,

Au nom, De Rethy de Cianfarano, qui l'aime,
Au nom d'Oursaring, qui l'aime,
Au nom de Riri, qui commence à l'aimer,
Au nom de l'originalité de son apport dans notre Communauté,
Au nom des rires que nous aurons,
Au nom des soupirs que nous partagerons,
Au nom de tout et de tous, dans une Réthylienne Omniscience.

Lui ordonnons donc de vivre.

En espérant, ma Très Belle, que tu trouveras un jour ton Riri...Mais pour cela, il faut rester en vie!

Rethy.

Très belle lettre de ma petite Fille Loveane.

Citation :

Mon cher et tendre papy,

je me rends compte que je ne me suis jamais vraiment confiée à toi. Aujourd'hui, je me demande même si tu sais vraiment qui je suis et ce dont mon coeur aspire vraiment, ce que j'attends de la vie, ce que j'aime, qui j'aime, je ne sais moi même si j'ai la réponse à tout celà.
Je ne suis encore qu'un brouillon de moi même, je me cherche, me trouve, mais souvent je m'égare pour me perdre un peu plus. La vie pour moi n'est pas chose simple, je vis ou survis des fois en m'enlisant dans mon passé. Un passé qui a eu le malheur ou le bonheur de faire de moi, cette chose fragile, un peu frivole, rêveuse, acerbe, douce et sauvage.
Je suis une contradiction vivante.
Mais il y a pourtant des choses pour lesquelles je suis sure, je suis une éternelle amoureuse. Je ne me lasse d'aimer, des fois même je prends des risques car l'amour est mon défaut mon pêcher, ma luxure, je me délecte de ce sentiments qui harcéle mon coeur le faisant chavirer, battre, exploser. Mon coeur est un lieu où loge bon nombre d'âme, je ne sais haïr, je souffrirais de l'injustice, du mal que je peux faire des fois sans le vouloir, de la haine que certains me porte, des calomnies à mon encontre, de l'indifférence d'autre, mais je serais incapable de détester pour toute une vie, car la vie est tellement courte, pourquoi s'encombrer de ses choses là.
Encore l'amour toujours l'amour, mon pygmalion, l'aboutissement de mes rêves. Me voilà fleur bleue devant l'homme et sa magnificence, mes sentiments sont multiples, mais il n'y a que pour un seul être, que mes mots se font velours, que mes mains voudraient apprendre la douceur de sa peau, telle une aveugle, je souhaiterais de mes doigts, de mes lèvres faire le contour de son âme, pour me perdre dans ses yeux et ne faire qu'un avec lui..... Mon tendre amour, mon GroCro. Je l'ai tant attendu, que je mourrais de le perdre, la pureté de notre union est l'essence même de ma vie.
J'avoues que mon écrit est des plus cahotique, mais grand père, sans ménagement je te jette en touffe ce que je suis.
Ma famille, voilà un chapitre important de mon être et de mon devenir. Ma raison, mon équilibre, la tempérance, mon exutoire, ma joie, la tendresse, l'amour, et oui il est encore là et toujours.
Qui aurait cru qu'un beau matin j'aurais trouvé une telle famille à Marseille, je n'étais rien et on m'a accueillis comme une personne importante, on, non pas "on" vous les De Cianfarani, pour certains je n'étais qu'une étrangére, une arriviste ou opportuniste, mais je ne suis rien de cela, je ne recherchais pas la renommée en vous cotoyant, juste l'amour d'une famille et vous m'avez ouvert vos bras. Avec le temps d'autres se sont refermés, mais je ne dois en vouloir qu'à moi, je mérite qu'on me tourne le dos, mon étourderie, mon manque de jugeotte font que des fois, je fais mal, j'ai fait mal, me pardonnerez vous, j'en souffre encore. Pour cette erreur que j'ai commis ma tante a perdu la confiance qu'elle avait en moi et ma soeur ne me considére plus comme telle, voilà ma punition, je l'accepte, il en est ainsi.
Mes oncles et mes tantes sont le ciment de cet édifices qui est ma famille. Mes parents, mes chers amours, la base de celle que je suis entrain de devenir par leur affection grandissante, leur estime pour cet enfant qui n'est pas de leur sang, me comble au plus haut point, le couple qu'il forme est pour moi un exemple à reproduire, quand je les vois se regarder, je suis admirative devant tant de bonheur. Mon père mon confident, celui sur qui je peux me reposer quand plus rien ne va dans ma vie. Ma mère, cette femme forte et si fragile au coeur immense, qui n'a de cesse de s'enquérir de mon bien être, alors que j'aimerais tellement faire pour le sien, mais souvent les mots me manquent ou je n'ose lui dire les mots que j'aurais aimé dire à celle qui fut ma mère, le passé est souffrance, qu'il se taise des fois....
Et toi Papy, tu es le soleil au dessus de cet édifice, celui qui nous abreuve de son savoir et de sa quiétude, tu es un sage, ton exhubérance et ta simplicité me fascine, tu es le volcan qui sommeille pour se réveiller en une éruption de pétale incandescente. Tes paroles m'apaisent et me sécurisent, tu dégages une aura indescriptible, moi qui ne suis qu'une petite chose, j'ai l'impression des fois que nous nous ressemblons, mais surement que je me trompe, je ne sais même pas encore qui je suis vraiment ou peut être.....
Alors j'ose et je le dis. Je suis Loveane Sauvage De Cianfarano, petite fille de Rethy, fille de Fred et Perperine, soeur de Cala, que j'aime pourtant si fort et je compte faire honneur à cette famille.

Pardonne-moi Papy, j'avais envie de vider un peu mon coeur, il n'y a pas de rime, même aucune chronologie cohérente, juste moi.

Ta petite fille qui t'aime.

Une nouvelle bien triste...

Citation :

Cher Rethy,

J'ai appris il y a peu, le décès de mon frère Siegfild.
Je reste choqué par cette mort subite, près d'Avignon, dont on ne connaît pas l'origine.

Siegfild tenait plus que tout à la Provence, et à Marseille.
Rethy, tu es devenu, avec le temps, le symbole de Marseille.
Ma demande est donc simple : accepterais-tu que le corps de Siegfild repose sur tes terres de Bonnieux ?
Je ne te demande pas de le faire pour moi, mais bien pour lui. Il mérite de reposer en paix, dans son pays.

J'ai confiance en toi,

Santiago.

Très bel écrit de Loveane!

Citation :

Me voilà devant cette page blanche, blanche comme la pureté de la neige qui fond pour devenir limpide, limpide comme devrait l'être ce que j'écris. Mais les mots glissent, des fois dérapent, pour créer une alchimie qui sans nulle doute à un sens.

Pour le profane, il ne trouvera que des lettres sans grand intérêt ou une suite de mot qui lui semblera être des hiéroglyphes. Chaque écrit a son essence, pour certain la joie, d'autre la peur, voir même l'amour et j'en passe et des meilleurs. C'est un peu aussi l'âme qui essaye de se dévoiler, des sentiments qu'on ne peut exprimer d'une autre manière qu'en les couchants sur un support et leur donnant comme sang l'encre qui tracera les pensées les plus intimes, qu'on n'aurait su dire, mais qu'on ne peut taire.

Alors parle plume, dessine des courbes suaves ou épicées, donne nous dans ta bonté des détails imagés que seul l'œil peut changer en paysage où seul le cœur peut y décrypter les messages.

Souvent un mot peut en cacher tant d'autre, une phrase avoir des sens multiples, on relit des fois traquant l'insolite, essayant souvent de deviner la suite. Mais l'écrit a du bon, il sait tenir en haleine, créer le trouble en nous même, donner de l'espoir ou créer une guerre.

La plume est une arme pour qui sait s'en servir, elle peut être vengeresse ou assassine, dans un coup de colère elle peut punir, comme détruire la personne qui lira le billet.

Elle peut se faire érotique, ne cachant nullement ses charmes et rajoutant un peu de piment dans les nuits solitaire de celui qui attend la caresse voluptueuse d'une maîtresse lointaine et laissant présager des retrouvailles charnelles, que même l'encre en est encore chaude.

Elle est annonciatrice de bonnes nouvelles, comme des moins bonnes, elle sait faire couler les larmes à celui qui écrit comme à celui qui lit.

Elle sait d'écrire l'amour, comme si elle devenait le porte parole du cœur, laissant à la main de l'auteur libre cours au flot de ses sentiments, parfois subtile et par d'autre, une manière de se dévoiler sans être vu.

On pourrait se demander, pourquoi j'écris cela. Simplement pour délivrer un message. Nous avons de l'or à porté de nos mains, l'écriture est un trésor que tant de monde oublie si souvent. Laisser parler votre âme et votre cœur à travers ce don merveilleux que nous possédons. Prenez le temps de mettre bout à bout les mots que vous avez peine à dire et délectez-vous de lire ce qui vous semblez sans intérêt. Cela peut également devenir une trace de vous que vous laissez à la postérité.

Je suis une amoureuse transit du verbe et du mot, je savoure chaque histoire que le néophyte peut nous faire découvrir, j'en suis une à mon corps défendant, je ne me qualifie nullement de virtuose de la plume, mais comme étant une adoratrice vouant un culte à l'encre qu'elle fait vivre.


« Je ne trempe pas la plume dans un encrier mais dans la vie. » Blaise Cendrars.

« La plume est la langue de l'âme. » Miguel de Cervantès.

La page blanche n'est plus vierge, les mots sont devenus des phrases. Une façon de se vider l'âme, même si à par vous, personne ne doit le lire, vous aurez plaisir à le revoir, à en sourire, en souvenir. Ne regardez pas vos lignes comme si elles vous étaient étrangères, même si au début elles sont maladroites ou quelques peu confuses, elles ne demandent qu'à être remaniées pour dévoiler pleinement le message tant attendu.


"L'écriture est le mot qui devient verbe, l'éloquence couchée sur le vélin, l'épée du bretteur littéraire, un brouhaha qui s'exprime dans un silence de velours.": Loveane De Cianfarano.




Loveane.

Citation :

Mon Arren,


Je vais veiller sur les membres de la Famille. C'est mon rôle et mon seul but dans la Vie.
Je vous remercie pour les rires, la bonne humeur et la joie que nous avons partagés ensemble. J'espère de tout coeur vous revoir sous peu.

Prenez soin de Chacha et de vous-même. Vive Valeque!

Avec toutes mes amitiés,

Rethy de Cianfarano.

Citation :

Bonjour père,

nous sommes en ce moment à la Ciotat, maison donné par ma marraine à l'occasion de notre mariage.

Je vous envoi ce pigeon pour vous annoncer que les Cianfarano comptent depuis hier deux nouveaux membres... Ma tendre épouse Callishane a donné naissance à des jumeaux... un garçon et une fille.

Non sans difficulté, mais sans complication. La maman est épuisée et dort comme elle le peut. Nous sommes des plus chanceux, Bloudas m'a donner un énorme coup de main lors de l'accoucement et n'a pas encore dormit, veillant sur Calli et les bébés. Ysabelle, Alexianne et Hermionne la domestique d'Ysabelle, sont avec nous et veillent sur les enfants et nous donne une aide précieuse...

Hermionne nous a fournie une recette à ajouter au lait de vache ou chèvre, pouvant ainsi fournir nos deux gourmands le temps que Calli reprenne des forces.

Même si j'ai l'air froid et fort... hier je suis devenu faible, mentalement, et attristé de voir souffrir mon ange alors que deux petits êtres arrivaient parmis nous.

Je pourrais vous en parler longtemps mais bon.. tout le monde est en forme et heureux...

Si vous voulez bien faire le message aux autre menbres de la famille car je ne pense pas avoir le temps et surement j'oublierais des personnes et je ne veux pas...

Aussitôt que Calli va mieux et que nous pourrons prendre la route... nous voulons vous rendre visite à Marseille. Il nous fera plaisir d'aller vous présenter... Fleure et Guillaume...

nous vous aimons et pensons à vous tous à Marseille et ailleuir...

Votre fils

Zarco

Citation :

Mon Cher Fils,

C'est avec une grande fierté que j'ai appris, en cet heureux jour, la naissance de Fleure et Guillaume de Cianfarano du Mystraal. Cette nouvelle me remplit de joie, et c'est avec un véritable plaisir que je vous accueillerai Calli, les enfants et toi à Marseille.

Je vais prévenir les membres de la Famille ainsi que Monseigneur Richelieu qui sera , j'en suis persuadé, ravi.

J'aimerais beaucoup que tu transmettes toutes mes félicitations à Cailli, ta tendre femme. N'oublie pas d'embrasser mes descendants pour moi, et remercie de ma part Bloudas, ma fille généreuse, Ysabelle, Alexianne et Hermionne. Je suis certain que ces quatre femmes protégeront , par leur connaissance et leur foi en Aristote, les bambins.


Je te donne une fantastique accolade, mon Zarco. Merci de m'apporter des jours heureux dans ma vie parfois morose.

Papounet.

Citation :

Bonjour à tous les artisans présent...

Bonjour à toi père...

Tu as su par ma dernière missive l'agrandissement de la famille... et je te sais toi et les autres membres de notre famille artiste, êtes très occupé avec la robe de Perperine et je suis de tout coeur avec vous.

Je me demandais, père, s'il y aurait pas moyen de confectionner une nouvelle robe à Callishane à l'occasion de notre visite à Marseille... Rien ne presse, les petits gourmands demandent encore trop et la maman se remet doucement.

j'ai jeté sa dernière à la suite de l'heureux évenement et Calli n'a plus de houpelande.. et bien ne ressemblant à sa dernière. Bloudas étant avec nous et nous aidant comme deux... je me vois mal lui demander cela en plus...

Juste une hoppelande simple, comme Callishane. Sa couleur préféré est le bleu... et comme moi, elle adore l'eau et la mer.

Si, et je présise... SI... vous avez un peux de temps, sinon, rien n'est grave, les jumeaux et les enfants sont prioritaire pour Calli et moi... le reste.. passe ensuite...

merci de me lire

Bien à vous, je pense à vous,

Zarco

Réponse...

Citation :

Mon Petiot,

Papounet contrôle la situation. Nous allons tisser la plus belle des tenues pour ta Belle. Fais moi confiance, elle sera cosmique.

Je t'embrasse tendrement,

Papounet.