Rethy's and Gabcha's Compo

J'ai répondu...

Citation :

Mon Majico,


Je savais depuis quelques temps, grâce à mes facultés médiumniques, que notre Patrie allait être attaquée par des Forces de L'ombre. Je suis très fier que tu défendes notre Provence devant ces êtres répugnants et pervers.

Je vais transmettre à Monseigneur Richelieu tes doléances concernant ton entrée dans l'Eglise Aristotélicienne.

Je t'aime, Mon ami. Alors, prends soin de toi! Tu seras dans mes prières!

Je t'embrasse,

Ton Rethy.

J'ai écrit à Richelieu...

Citation :

Mon tendre,

Je vient de recevoir une lettre de Majico. Ce dernier part rejoindre les troupes qui vont défendre la Provence devant l'attaque perverse des Forces de L'Ombre.

Il aimerait beaucoup se faire baptiser. Je sais que tu as énormément de travail, mais Majico est un guerrier valeureux et il le mérite tant.

Si tu le désires, nous en parlons tantôt.

Je t'embrasse avec tout mon amour, mon Tendre, et te souhaite une belle journée,

Ton Rethy.

Lettre très émouvante de Zarco, reçue ce 13 septembre 1457

Citation :

bonjour Père,

Quelques jours ont passé depuis votre annonce me demandant si j'étais intéressé à rejoindre votre famille... les Cianfarano... Ne vous inquiètez guère, je ne regrète aucunement, et même j'en suis des plus honoré.

De plus, à vous entendre accepter ma soeur de sang auprès de vous, je ne peux vous expliquer la joie ressentie, et, ne pourrai jamais vous remettre à sa juste valeur cette honneur d'accepter deux du Mystraal parmis vous...

j'ai eu un passé difficile oui, peut-être un jour je pourrai vous expliquer, mais en ce moment je traverse des moments de joie, de stress mais aussi des moments de peine.

Vous comprendrez en vous disant un seul mot...: CSMAO...!

Vous avez été un modèle pour moi à mon premier procès en tant que procureur, et maintenant, ayant place aux mêmes sièges que vous... Juge.

Je sais et vous me l'avez dit, la loi est la loi et doit être respectée. Le juge doit rester neutre et juger en étant impartial... Mais vous savez que ce procès me met dans une position délicate.

Ma joie est dû à la demande de Led à être son vassal, son témoin pour son mariage et le parrain de leur futur enfant. Le stress et la peine par le procès qui va commencer bientôt, entre Strong, le futur mari de ma suzeraine et... Chacha ma petite soeur qui m'a si bien accueillie.

Je sais être capable rester impartial et juste... mais je ne sais la peine que je pourrai faire aux gens qui sont près de moi... Chacha ou Strong...

Vous me disiez être avec moi en salle pour suivre le déroulement du procès, et cette présence sera apprécier...

Peut-être la nervosité de la première fois en tant que juge... ou celle de blesser des personnes que j'aime... Strong un ami, Chacha ma soeur ou même vous père...

bien à vous père

votre fils

_________________
Zarco de Cianfarano du Mystraal
Mari de Callishane Leroy
Père de Chloé, Rhys et Jenifeal
Juge à la CSMAO

Citation :

Mon très cher père

Tu apprendras surement lors de tes passages à Marseille ou mieux encore par ta petite fille que ta fille c'est à dire moi est en couple.

N'en crois rien, j'ai simplement fait la connaissance d'un voyageur venu de Montélimar et nous apprenons chaque jour à nous connaitre d'avantage rien de plus pour le moment. Mes expériences passées m'ont appris à me méfier et je ne compte pas refaire les mêmes erreurs.

Toujours est il que ce messire pense à s'installer à Marseille car rien ne le rattache à sa ville et il a trouvé l'accueil des marseillais fort chaleureux.

J'ai pensé qu'en attendant son déménagement ou son retour chez lui, il serait possible de mettre à sa disposition une des nombreuses chambres dont tu disposes à Bonnieux. Qu'en penses tu ?

En attendant de tes nouvelles, qui j'espère seront meilleures étant donné ta mauvaise mine de ces derniers jours, je t'envoie par cette missive un tendre calin qui je l'espère te fera entrevoir tout l'amour que je te porte.

Tendrement

Ta Chacha

Citation :

Ma Chère Chacha,
Je suis d'abord désolé de mon retard pour te répondre, mais la maladie qui m'a cloué au lit commence enfin à être un peu guérie.
J'ai toujours accueilli toutes les personnes qui venaient s'installer à Marseille avec un à priori fort positif. Il en sera de même pour ton ami. J'accepte également qu'il partage ta chambre à Bonnieux: si tu le désires, tu demanderas à la domesticité deux lits ou un plus grand.
Néanmoins, tu as oublié de me mentionner son nom...Je ne puis donc donner d'ordres aux gardes à l'heure actuelle. Pourrais-tu m'envoyer celui -ci par retour du courrier? Je t'en remercie.
Passe une belle journée, ma Tendre. Je t'embrasse.
Papounet.

Mon cousin Yu a écrit...

Citation :

Tonton Réthy,

Ne t'inquiètes pas trop ... Durant mon séjour chez les moines, j'ai de quoi m'occuper.

Je découvre avec bonheur les enluminures et je donne un coup de mains aux prêtres les plus habiles avec leurs mains et pis Ririnou me rend visite chaque jour pour parfaire mon éducation de prêtre ...

Heureusement, il est gentil, on travaille pas tjs au bureau, mais aussi en pleine nature, au lit, il est inépuisable et je suis assassiable ... Même si les moines ne sont pas contents que je ne me repose pas.

Être mis chez eux, de force par ma corps alors que l'esprit est encore plus que vivace, maudite réalité.

Tendres bisous, Tonton

Ps : Fais en aussi une grosse à Chacha, elle me manque, j'aimais bien lorsque l'on était maire tous les deux, on s'amusait bien avec les bûcherons ^^

Ma Réponse...

Citation :

Mon Cher Coucou,


Manifestement, tes rapports avec Richelieu entrent disons dans une période de Haute Voltige Bucolique, le tout dans un océan d'érudition et de recueillement.

Il serait bon que tu demandes à Monseigneur un fief. Tu pourrais ainsi t'installer auprès de lui, et étudier avec encore plus d'attention les joies de la vie religieuse.

Je t'embrasse,

Cousin Rethy.

Tsine a écrit...

Citation :

Mon cher Messire Rethy,


Voilà un fort long moment que nous ne nous sommes entretenus.

La parution du journal a été stoppée nette il y a quelques semaines, dues à plusieurs raisons que je ne vais pas vous détailler pour ne point vous noyer. Je ne désespère pourtant pas qu'il paraisse avant la fin du mois, qui sait....

J'y intègrerais comme promis le poème de votre petite fille, qui je trouve, a fait de vigoureux efforts en écriture. Sa plume s'annonce fort prometteuse pour l'avenir.

Bien qu'ayant repris mes pérégrinations, et oui j'ai à nouveau quitté Arles ne tenant pas en place, je souhaiterais vivement venir faire un pause bienfaisante à l'occasion en votre demeure pour m'y reposer l'ame et l'esprit de tout ce qui le fait tourbillonner et deviser agréablement en votre compagnie si vous m'acceptez à vos cotés.

J'ai à maintes reprises failli venir vous voir, mais n'ai point osé. Une fois meme j'ai emprunté un cheval à un ami et ai galopé en pleine nuit pour arriver au petit matin devant les grilles. Mais n'ai point frappé et m'en suis retourné après un repos à l'auberge de la ville.

Ainsi donc je ne vous oublie point. Je souhaite heureux, bien que je me fasse du soucis à votre encontre, vous me semblez fatigué et les traits tirés les rares fois où vous venez encore au chateau.

Pardonnez mon impudence à vous décrire ainsi, peut-etre ne devrais-je point ; mais votre rédactrice en chef se soucie profondément du bien-etre de votre personne et si j'osais, je me targuerais aussi de dire votre amie..; mais nous n'en sommes encore point là, enfin il me semble.

Ainsi donc je n'attends qu'un mot de vous pour vous rejoindre quelques temps, içi à Bonnieux, comme une escale dans la tempete de ma vie et ses turpitudes.

Je vous souhaite bien le bonsoir très cher et de merveilleuses pensées.

Avec toute mes amitiés,

Tsine

Ma chère Tsin,

J'ai été malade pendant bien longtemps, et ce n'est que maintenant que j'arrive enfin à vous écrire.

Je serai toujours très heureux de vous recevoir dans mon domaine: l'ambiance y est sereine, loin des turpitudes d'Aix et de la politique comtale. Bien évidemment, je ne suis pas encore totalement rétabli, mais je suis certain que votre venue accélérera ma guérison.

Je vous attends donc, avec l'impatience des gens qui veulent , envers et contre tout, vivre.

Avec toute mon amitié,

Rethy.

Chacha a écrit

Citation :

Mon cher papounet,

Je te remercie d'avoir pris de ton temps pour me répondre et avais oublié, figures toi, de donner l'adresse exacte à Arren, notre invité.

Le fait que tu veuilles l'installer dans ma chambre me semble pour le moins prématuré et mon souffle a été quelque peu coupé en te lisant.

Je pense que lui attribué une chambre que nous réserverions à l'avenir pour les invités de passage serait plus ... approprié si cela te convient bien sûr.

Dans l'attente de ta réponse, je te souhaite un prompt rétablissement car ton état de fatigue m'inquiéte fortement et t'embrasse tendrement.

Ta Chacha qui t'aime

J'ai répondu...

Citation :

Ma Chère Fille,


La vie est courte, c'est que j'ai appris ces derniers jours. Alors, cet Arren sera accueilli et ira dans ta chambre, ou celle de Roland, ou dans le couloir, mais pas dans celle d'un invité. Créer une couche pour invités, c'est estimer que des humains sont en dessous de nous, mais juste au dessus des cochons.

Je t'embrasse, ma Belle.

A très vite,

Papounet.

Citation :

Coucou mon parrain

J'espère que ta santé va mieux, et que tu bois des grogs !
Voici comme promis ce que tu m'as demandé :

Un mariage me fait penser à :

Dentelles- Satin- Ruban de satin-Corsage lacé- Échancrure au décolleté- Voile- Couronne de fleur d'oranger- bas blanc avec en haut dentelle- Transparence- Jarretière- Robe courte et gonflante- Sexy- Talon aiguille blanc- Fleurs- Parfum- Maquillage-Lèvres roses- Jeune- Moderne-Dynamique-Sensuel- Léger- Virevoltant- Gracieux-Bijoux anciens- Croix-

Mon gentil parrain, j'espère avoir bien répondu à ta demande.

Prends bien soin de toi

Que Aristote te protège

Des bisous aériens

Je t'aime

Ta filleule Perperine

Citation :

Ma chère filleule,

C'est avec grand plaisir que j'ai reçu tes idées concernant ta robe de mariage. Des images me sont immédiatement venues en tête: plumes d'autruches, danse, princesse, Angleterre, musique planante...Je vais commencer à esquisser des croquis la semaine prochaine. Nous pourrons en discuter à Bonnieux, dans l'atelier de Haute Tisseranderie.
Je t'embrasse très très fort,
Parrain
(hrp: Princesse Diana, Christian Lacroix, Zizi Jeanmaire, années folles, jazz)

Premier écrit de Tsine.

Citation :

Mon cher Rethy,

Au cours de mes pérégrinations j'ai toujours grand plaisir à découvrir les écrits des autres, dénicher de petites perles, ou des diamants bruts voir des pierres étincelantes. On les admire, on s'en pare, et parfois l'on s'en inspire. Ah le génie créatif ! Ou comment les memes mots énoncés par des bouches différentes n'auront jamais le meme sens ou la meme profondeur d'intensité. Alors je décortique, je creuse, je fouille et tamise encore et encore à la recherche du trésor précieux.

Ceci dit j'aime surtout ce qui évite les sucreries de guimauve dégoulinantes de trop bons sentiments qui ne sont que des mots sans ame, des lithanies d'amour formaté.
Oh je ne dénigre pas les sentiments de ceux qui les écrivent, loin de là, je les respecte meme d'avoir le courage de s'offrir ainsi aux regards des autres, de ceux qui n'osent pas et parfois se moquent de voir ainsi étalée la nudité des sentiments sans meme un voile de pudeur comme une fine gaze de protection qui serait encore une barrière à l'indécence.

J'y préfère nettement un ton décalé, un zeste d'humour, une pointe acidulée qui met de la saveur à une phrase, du piquant à un texte.

Aussi n'ais-je pu m'empecher de penser à vous, enfin, à vos célèbres Rethyrighettes, à la lecture de ce qui suit. Et j'ai voulu vous en faire part.
L'auteure en est restée anonyme, dommage vraiment...

J'espère que ces quelques mots vous plongeront dans les souvenirs incandescents des volutes qui vous cernent...


Subtile incandescence volatile,
J'allume ton extrémité, fragile,
L'air inspiré changé en fumée,
Je te fume, délibérément intoxiquée...
Geste élégant, la bouche arrondie,
Tu te consumes comme je t'apprécie.
Moment délicat aux parfums tabac,
Toute sa volupté me suit pas à pas
Telle une amie fidèle et si mesquine,
Dans la ronde d'un nuage de toxines,
Macabre est ta danse pour ma dépendance,
Tu m'enlaces, lascive, de toutes tes substances.


Je n'en connais pas les plaisirs dépeints mais vous vous y plongez certainement avec langueur. Ne manque que le narguilé des lointains pays exotiques.
Moi je n'ai que les mots pour vous embrumer l'esprit, vous perdre dans un nuage de sensations doucatres, à l'amertume si agréable, au sirupeux si acre et vous plonger dans un univers infini de délices oubliés.

Volutes Voluptueusement votres,

Tsine

Second écrit de Tsine.

Citation :

Mon cher Rethy,

Je vais continuer à vous distraire par un autre texte qui n'est pas de moi mais qui a retenu mon attention. Le voici :

"Partout sur la terre voyageait un couple mystérieux :
Lui, se nomme Amour et Elle, Tendresse.

Elle passe son temps à le nourrir pendant que lui emporte les palmes du succès !
Elle est, semble-t-il, plus naturelle...
Une drôle de petite chaumière les abrite, elle a pour nom "cœur" ou "esprit" selon les êtres.
A l'aube de leur vie, Elle est déjà plus forte que Lui, plus présente peut être ;
Lui, semble-t-il ose moins se dire et parfois l'empêche, Elle, de s'exprimer.
Plus pudique ou plus méfiant ? nul ne le sait.
Bien souvent, on l'invite Lui à venir réchauffer notre chaumière
mais souvent on oublie que Elle, si elle se donne, Elle a aussi et souvent besoin
de se ressourcer, de recevoir.
Si vous ne savez par leur donner un cocon pour les y loger,
ils s'amenuisent et meurent dans l'indifférence,
mais pour qui sait les regarder et les abreuver,
Ils seront son bâton de vieillesse, et de pèlerin.
Ils se soutiennent, sont indissociables. On eut crû un moment qu'Ils n'étaient
qu'un, mais d'aucuns ont osé s'en jouer et maintenant,
il n'appartient qu'à de rares élus de les abriter tous les deux ensemble..."


Voilà, j'espère qu'il vous aura plu. N'hésitez pas à me faire part de vos impression sur les textes que je vous envoie : qu'ils vous palisent ou non d'ailleurs.. ça me permettra d'affiner ma sélection pour vous en tous les cas.

Amicalement,

Tsine

Troisième écrit de Tsine.

Citation :

Or là je n'ose... mais je dépose
à vos pieds, comme un péché,
les mots d'un autre, dans lesquels je me vautre,
comme une gourmandise, et un soupçon d'érotisme
Et si j'osions ? Alors jouissions !



" Possession.


Je t’aperçois,
Je te croise,
Je t’observe,
Je t’approche,
Je te frôle,
Je t’effleure,
Je t’allume,
Je t’embrasse,
Je te sens,
Je te touche,
Je te caresse,
Je te déshabille,
Je te parcours,
Je te langue,
Je te lèche,
Je te titille,
Je te pourtour,
Je t’agace,
Je t’appuie,
Je t’ébranle,
Je t’insiste,
Je te branle,
Je te reluque,
Je te prends,
Je te bouscule,
Je te malmène,
Je te colle,
Je te retourne,
Je t’accule,
Je t’enfonce,
Je te frémis,
Je te va,
Je ressors…
Je te viens,
Je te « va et viens »,
Je te profonde,
Je te ravage,
Je t’enserre,
Je te mouille,
Je te hume,
Je te chavire,
Je t’enflamme,
Je te tressaille,
Je te murmure,
Je t’enlace,
Je t’aime,
Tu jouis. "



et vous ?


Epistolairement votre toujours

Tsine

Réponse en préambule

Citation :

ECUtez moi
Ecutez moi
Denierisez moi l’âme
Payez la flamme
Du biaiser…

Monnayez mes supplices
Billetisez mon cœur
Et dans l’ombre du Calice
Sonnez l’heure.

Je suis un précipice,
Un gouffre financier
Et fiancé du vice
Je crise en gay thé !

Eurotisez moi
Eurotisez moi
Centimettez ma lyre
Agitez la spire
De nos avidités.

Rethy de Cianfarano.

Réponse Réthyrighette

Citation :

Je fumette du lardon
Je jouis de l’édredon
Des délices silicieux
Pénis anti fielleux.

La Réthyrighette est l’invention
D’une joyeuse bande de coquettes
En délires paillassons
Coulissant de la braguette.

Elle cicatrice nos peurs
Détruit la sotte vergeture
Des individus tueurs
Des puants de la censure.

Rethy de Cianfarano.