Mariage de Nathy de Castilla & Alberto de Monte Cristo

Nombre de messages : 1 Date d'inscription : 23/05/2012

Appuyé contre un arbre Brutal observait avec émerveillement l arrivée des invités depuis deux bonnes heures .

Jamais il n avait vu autant de personnalités réunies en un même endroit .
Tous le monde avait revêtu ses plus beaux atours , les dames rivalisaient de beauté et d élégance , sur leur passage l air exhalait leurs parfums tous des plus enivrants .
On était loin de l'ambiance des champs de batailles , ce sera un grand et beau mariage .

Prenant son courage a deux mains Brutal entra dans la chapelle et alla s'asseoir discrètement après avoir salué l assemblée d un geste timide de la tête

Nombre de messages : 38 Date d'inscription : 12/12/2009

Miss sourit à Sabdel quand elle l'avait aperçu, et l'embrassa.
-Ah ben, oui, tu t'étonnes. Toujours là quand il y a un mariage à célébrer!
Miss rit.

Nombre de messages : 5 Date d'inscription : 25/05/2012

Saintsir arrivât enfin au porte du château d'Apt et de Bonnieux avec un encombrent équipage il emmenait avec lui deux magnifiques pur-sang ramené de son dernier voyage pour les futur époux.
Il se dirigeât vers l'entrée de la chapelle et entra, beaucoup de personnalités s'y trouvaient déjà intimidé il ôta son chapeau et salua respectueusement les personnes présente.
Et d'un coup d'œil furtif repérât des sièges inoccupé et y pris place discrètement.

Nombre de messages : 21 Date d'inscription : 19/09/2011

Alberto suivit de musiciens qu'il avait fait venir pour l'occasion arriva prestement à la Chapelle où semble t'il des personnalités avait fait courageusement le déplacement. Il était honoré le Comte et avait fière allure dans sa tenue brodée au fil d'or fait spécialement pour lui aux mesures impeccables et uniques.

Mariage de Nathy de Castilla & Alberto de Monte Cristo - Page 3 Costum10

Il marcha fièrement sur la jonché de pétales de roses venue tout spécialement des jardins prestigieux de Provence pour être foulés par les divins petits pieds de sa douce et tendre qui s’apprêtait à devenir sa femme devant le Très Haut et tous ! Un sourire flatteur mais à la fois surpris se dessina sur son visage qui ne dégageait que paix et bien être à cet instant même. Il ne s'attendait pas à voir tant de monde à ses épousailles qui promettaient d'être vraiment grandioses.

Il salua chaque personne et personnalité et voyant la mère de Nathy il se rapprocha rapidement d'elle : Doña de Villareal, viuda de Castilla es un verdadero honor volver à verla estoy a sus pies Señora y le agradezco el haber permitido que sea feliz en mi vida dandome la oportunidad de concederme la mano de su hija. Un baise main et il se tourna vers la Marquise et Led qui étaient là à parler. Votre Majesté, Votre Grandeur ! Baise main frôlé comme à son habitude et un sourire ravageur. Je compte sur vous pour me présenter ce beau monde et surtout je ne dois oublier personne. Un petit geste de la main à quelques personnes qui étaient déjà présentes et qu'il appréciait.

Mais dites moi où est Son Éminence ? Nathy ne devrait plus tarder à arriver.

Il fit un signe aux musiciens pour qu'ils prennent place et jouent une petite musique pour faire patienter les convives et va serrer des mins ci et là remerciant les gens pour leur arrivé, pendant que la musique retentissait.

Douce dame jolie,
Pour dieu ne pensés mie
Que nulle ait signorie
Seur moy fors vous seulement.

Qu'adès sans tricherie
Chierie
Vous ay et humblement
Tous les jours de ma vie
Servie
Sans villain pensement.
Helas! et je mendie
D'esperance et d'aïe;
Dont ma joie est fenie,
Se pité ne vous en prent.
Douce dame jolie.

Mais vo douce maistrie
Maistrie
Mon cuer si durement
Qu'elle le contralie
Et lie
En amour tellement
Qu'il n'a de riens envie
Fors d'estre en vo baillie;
Et se ne li ottrie
Vos cuers nul aligement.
Douce dame jolie.

Et quant ma maladie
Garie
Ne sera nullement
Sans vous, douce anemie,
Qui lie
Estes de mon tourment,
A jointes mains deprie
Vo cuer, puis qu'il m'oublie,
Que temprement m'ocie,
Car trop langui longuement.
Douce dame jolie,
Pour dieu ne pensés mie
Que nulle ait signorie
Seur moy fors vous seulement.

[Traduction : Dame de Villareal, veuve de Castilla c'est un réel honneur de vous revoir, je vous salut bien bas Ma Dame et je vous remercie de m'avoir permis d'être heureux dans ma vie en me donnant l'opportunité de m'accorder la main de votre fille.]

Nombre de messages : 1 Date d'inscription : 26/05/2012

Le jeune homme arriva à son tour,il était temps car celui-ci avait bien cru arriver en retard.
Vêtus de simple,juste ce qu'il faut pour la saison sans pour autant dénigrer la prestance de la tenus.
N'étant pas forcément un grand amateur des grandes réunions,il optait pour une place assez discrète,ainsi il pouvait assister au mariage en toute discrétion.

D'un bonjour respectueux il saluât toute les personnes qu'il croisa avant de s'installer à son tour.

Comte d'Apt Nombre de messages : 610 Date d'inscription : 01/10/2008

En retard le Cardinal ? Peut être, de toute façon il préférait être en retard dans ce monde qu'en avance dans l'autre, même si le Très Haut lui seul déciderai de l'horaire. Il doutait de se mettre en retard sur la voie lactée.

Entré secrètement à l'arrière de la sacristie Son Éminence terminait tranquillement de revêtir ses ornements liturgiques. Son fameux "pourpre".

Les deux fiancés prêts à s’unir, après la période de fiançailles, relativement longues pour les deux futurs épousés en rapport de leur désirs de …spiritualité ! Quoi qu'il en soit ils allaient se donner l’un à l’autre dans la Foy Aristotélicienne et avec la bénédiction du Très Haut.

Le regard rayonnant de joie, il se dirigea ensuite en direction du chœur. Comme d'habitude, il saluerai de façon générale d'abord et particulièrement après la cérémonie.

Première chose faire sonner les cloches pour appeler à entrer les derniers hôtes et imposer le silence. Ludovi fit un signe à un jeune garçon - qui l'accompagnait depuis Rome et qui au demeurant ne parlait qu'italien et baragouinait le latin - qui se trouvait près du narthex, à la verticale sous le clocher. Le jeune homme sonna rapidement les cloches, et se remit à sa place sans broncher.

L'office allait donc commencer. Ludovi n'attendait plus que le silence, que tout le monde se soit assis avant d'inviter le Fiancé à pénétrer le cœur.

Nombre de messages : 56 Date d'inscription : 06/07/2009

Le château d'Apt, la chapelle de l'Archange St Gabriel, ce nom sonnait si bien, que de temps passé, que de souvenirs, Fred de Cianfarano n'avait plus mis les pieds ici même, depuis … depuis fort longtemps et c'est une invitation, et pas des moindres, un mariage, heureuse surprise, qui le poussa à y retourner.

Ces lieux ne lui étaient donc pas méconnus puisque c'est ici même qu'avait été célébré son propre mariage et que son petit garçon Keryan qui l'accompagnait aujourd'hui même avait vu le jour non loin de là.
Une fois descendu du carrosse après un voyage plutôt agréable, Fred, suivi également d'Isalina et d'Adora, entra dans la chapelle, Keryan lui tenant la main.

Une décoration somptueuse, des personnes radieuses, il se signa, son petit garçon tant bien que mal en fit de même et nous avançâmes, essayant d'apercevoir quelques connaissances parmi tout ce monde, quelques salutations effectuées au passage à des personnes inconnues jusque là avant d'arriver avec surprise si l'on peut dire vers les premières connaissances.

Miss tout d'abord, non loin, Damoiselle Bellabs rencontré il y a peu, avançant encore il aperçut dame Istanga qu'il était heureux de croiser en dehors de Marseille, puis il vit sa filleule Keena dont il n'avait plus trop de nouvelles, s'arrêtant un instant pour discuter avec elle et savoir comment elle allait, puis continua, croisant Princess et Apollon, très heureux de les retrouver, Led ensuite qui ne savait plus où donner de la tête tellement il y avait de monde en ce jour si merveilleux avec qui j'échangeai quelques mots furtivement, elle avait tant à faire …

Non loin de là se tenait Messire Joel que je n'avais point croisé depuis longtemps, Archille que j'étais heureux de voir aussi, la marquise Hersende que je ne rencontrais que trop peu, à quelque pas encore de là, Gaspard, toujours un plaisir de croiser sa route, Messire Federer que j'avais pu croiser à Aix que c'était une joie de revoir une fois de plus, que de personnes de valeurs rencontrées ou croisées pour un évènement d'une telle importance, échangeant quelques mots, sourires ou simples salutations, les connaissances et discutions approfondies seraient pour plus tard …

quand tout a coup, quelque chose devait se passer, quelque chuchotis et mouvements en direction de l'entrée de la chapelle, c'était l'arrivée du comte Alberto, il rayonnait littéralement dans ça tenue, avançant peu à peu en saluant une à une les personnes présentes, Fred le salua avec tout le respect qu'on lui devait lui adressant toutes ses plus sincères félicitations …

mon petit homme, petit garçon Keryan était aux anges, rencontrer le comte de Provence en personne le rendait très heureux et il le salua respectueusement au passage avec un grand sourire de satisfaction.

Arrivant ensuite presque dans ses pas, le Cardinal Richelieu, le saluant comme tout le monde, décidément keryan était de plus en plus heureux, que de belles rencontres, il adorait cela et regardait un peu partout à la fois espérant enfin voir entrer la Mariée.

Tout en saluant au passage Messire Gnazzdemozgoard, les cloches se mirent à sonner, le moment tant attendu se rapprochait de plus en plus et nous nous attendions, un petit sourire échangé avec Isalina et les enfants au passage, à voir apparaître celle que nous attendions tous, la mariée ...

Nombre de messages : 1 Date d'inscription : 25/05/2012

C'est avec quelques difficultés qu'elle avait trouvé la route, le chemin et le Château. Elle se disait, tandis qu'elle se retrouvait enfin aux portes, qu'elle devrait se faire faire une nouvelle carte, un peu plus à jour, mais comme ce n'était ni le lieu, ni le moment, elle démonta, satisfaite de pouvoir se dégourdir les jambes, et laissant sa monture à un homme qui ne semblait attendre que cela, elle prit la direction qu'on lui indiquait, tandis qu'elle observait les lieux.

Chose étrange, à chaque fois qu'elle pénétrait dans ce type de propriété, c'était pour se retrouver dans une chapelle. Et, ça ne la dérangeait guère, elle aimait ce genre de lieux, ou calme et tranquillité régnaient, ce qui n'était pas pour lui déplaire. Cela ajouté à la joie d'assister au mariage de Nathy et Alberto, elle n'avait aucune raison de se faire prier.

Elle arriva enfin à la Chapelle, juste à l'instant où les cloches sonnaient. Elle entra sans un bruit et prit la première place qu'elle vit, sans prendre le temps de saluer quiconque. Moins une qu'elle soit en retard. Laissant les lieux l'imprégner, elle se recueillit en attendant la suite.

Meilleure Amie d'Apt ! Nombre de messages : 103 Date d'inscription : 27/11/2008

Led souriait en voyant John Edward peu à l'aise mais la conversation avec le Président de Catalogne et le fait qu'ils se connaissent le mit à l'aise.

- Je vous laisse John, je dois aller saluer nos amis du Berry qui sont là. Je vois aussi deux amies arlésiennes qui doivent chercher des bières. A plus tard.

Elle alla rejoindre le couple berrichon qui venait d'entrer. Elle les reconnut de suite, les ayant vu il y a peu de temps à leur chancellerie.

Votre Grandeur Pandhora, Excellence June ! Bienvenue au mariage du Comte de Provence. J'espère que vous avez fait bon voyage. Je pense que vous connaissez déja du monde. Je vous laisse prendre place la cérémonie va bientôt commencer. On se revoit de toute façon au banquet.

Elle alla saluer son filleul l'archevêque

- je suis en effet radieuse de cette journée. C'est une grande joie après de très longues fiancailles cet amour va se concrétiser. Ma soeur et Alberto me sont chers et je souhaite que Dieu les protège et les garde. A plus tard Monseigneur on se revoit au banquet.

Elle salua ensuite les amies Keena, Sabdel, Istanga et la Comtesse Miss qui avait l'air de chercher quelques bières. Led ne s'en faisait pas pour elle, sa jupe contenait des cachettes à cet usage. Après le réformé et le Berry et les amies, elle alla saluer le duo discret de toutes les équipées et de tous les combats : Brutal et Saintsit. recevoir un hôte d'honneur représentant l'Ordre militaro-religieux de la Montesa.

- Excellence ! Merci de tout coeur pour ce voyage que vous avez fait pour être des nôtres. C'est un honneur que vous soyez là et le Comte Alberto sera ravi de vous voir. Prenez donc place le marié na va pas tarder.

A peine ayant dit cela qu'Alberto fit son entrée, il était splendide et très ému. Elle l'avait aperçu très stressé le matin même en train de signer des papiers et craignait qu'il ne sut pas s'arrêter quelques heures pour ses épousailles. La Madre était très émue et prête à fondre en larmes. Elle avait tenu à mettre une mantille et cela lui allait à ravir.

Son ami le Cardinal Ludovi de Sabran fit son entrée et sonna les cloches, Led alla chercher la Madre ainsi que Bellabs qui venait d'arriver splendide dans une robe de la grande maison de mode parisienne ou elle travaillait : les Doigts d'Or, les 3 femmes s'en allèrent chercher l'héroïne du jour : la Comtesse de Marignane qui dirigea la Provence les deux mandats précédents et qui d'ailleurs cosigna le traité avec l'Empire. Leur fille, soeur et tante.

Elle croisèrent Fred avec son jeune fils et la nounou et les saluèrent puis elle vit qui entrait le Chancelier Impérial Fentick

Ho ! Vous étiez là Excellence ! Ma parole ! Mais entrez donc prendre place, la chapelle est joliment pleine mais vu votre taille vous ne perdrez rien du spectacle il reste de la place. Nous allons chercher l'héroïne du jour.

Nombre de messages : 3 Date d'inscription : 23/11/2008

Guilhem et Ysabelle entendirent les cloches de la chapelle et ils accélérèrent le pas pour ne pas trop être en retard. Le trajet entre La Ciotat et Le Château d'Apt fût plus long qu'ils ne l'avaient estimé. Elle releva les pans de sa robe et ils gravirent les marches quatre à quatre. Guilhem lui ouvrit la porte et avec un sourire elle lui tendit la main pour qu'il la guide vers un siège. Elle remarqua plusieurs visages connus et certains qu'elle aurait aimé ne pas revoir. Elle sera la main de Guilhem et lui montra discrètement la Comtesse Led. Elle suivit Guilhem de l'autre côté et ils prirent place en attendant le début de la cérémonie.

Nombre de messages : 4 Date d'inscription : 26/05/2012

Isalina De Médicis, avait reçue une charmante invitation de la part de La Comtesse Nathy De Castilla, c'est avec plaisir que la jeune femme se rendit au mariage ainsi que de son futur mari , Alberto comte de Montecristo et De Provence. La jeune Damoiselle Isalina, suivait Messire Fred De Cianfarano, dans la chapelle Saint Gabrielle , n'étant jamais venue, elle put admirer les fresques de l'entrée montrant l'Annonciation faite à Maria par L'ange vetu d'une tunique rose. Keryan tenait la main de son père, le petit était fier comme un paon, d'assister si jeune à un mariage somptueux de haute noblesse. Devant le bénitier, Isalina prit l'eau bénite et se signa, Adora De Médicis, sa nièce qui se trouvait à ses cotés, fit de meme. Sous la voute en pierre de l'église, La Damoiselle , donnant la main à Adora , apperçut déjà présent, des personnes quelle connaissait déjà, Isalina salua avec un grand sourire et un inclinement de tete, la fillette Adora, leur fit un petit bonjour, de sa main, gantée de dentelle blanche. Messire Fred De Cianfarano, après avoir parlé et salué ses amis et amies, alla s'asseoir sur une chaise des plus confortable avec son fiston Keryan. Adora s'assis près de lui, Isalina à coté de sa nièce. La jeune femme admira avec Adora, et le petiot, la chapelle superbement fleurie , et en pierre Provençal de couleur ocre et chaude, un régal pour les yeux.

Monseigneur Ludovi De sabran, fit son entrée, celui-ci alla sonner les cloches. Le Comte de Provence s'avança dans la chapelle sous les yeux des invités, vetu de son habit d'apparat, de ses grands yeux bleus attendit sa future épouse, avec impatience. Les enfants regardaient béatement, l'autel fleuris et le futur marié.

La cérémonie allait commencer .... Nous attendions toutes et tous la jolie mariée.

Meilleure Amie d'Apt ! Nombre de messages : 103 Date d'inscription : 27/11/2008

Led croisa sur le chemin la Baronne Ysabelle et son époux mais ils l'évitèrent ostensiblement pour aller de l'autre côté de la chapelle. Led haussa les épaules, elle n'avait jamais compris les nobles de Provence et ce n'est sûrement pas aujourd'hui que ça allait changer. Le plus drôle c'est qu'elle les aimait bien, mais ce sont eux qui ne l'aimaient pas. Elle n'avait besoin que de l'amitié et du respect que de sa famille et de ses amis qui eux, allaient du brigand au noble même provençal. Et eux restaient simples et surtout fidèles.

Hâtant le pas les trois femmes arrivèrent dans l'appartement réservé par son Eminence à Nathy pour qu'elle se prépare. Elles la trouvèrent aux mains de ses femmes qui l'avaient merveilleusement préparée. Sa coiffure lui allait très bien et sa robe était merveilleuse. Par contre sa soeur tremblait visiblement. Elle avait peur en cet instant crucial et ô combien important. La Madre restait à dessein un peu en arrière.

- Ma soeur ! J'ai une surprise pour vous !

Elle se recula pour que Nathy voie leur mère qu'elle n'avait pas revu depuis plus de 2 années.

Nombre de messages : 2 Date d'inscription : 25/05/2012

June salua LedZeppelin qui venait les accueillir. Il l'avait déjà vue au Palais Jacques Cœur.

"Bonjour, merci de votre accueil. Nous avons fait relativement bonne route. A tout à l'heure au banquet, oui."

Il accompagna ses paroles d'un sourire sympathique. Mais lorsqu'il entendit le nom donné à Pandorha - "Votre Grandeur" - il fronça les sourcils, intrigué, et regarda Pandorha avec un air interloqué.

"Votre Grandeur ? ... ! Depuis quand t'es une Grandeur, toi, Baronne ?"

Un sourire amusé. Cela le faisait plus rire qu'autre chose, de toute façon. Surtout qu'à côté de June et son mètre quatre-vingt-dix-sept, la Blonde faisait naine.

Nombre de messages : 3 Date d'inscription : 25/05/2012

Dans l'appartement ou la fiancée se prépare

Ho Ho ! Mi hija querida! Qué el Señor la guarde en su santa gloria en este día especial que por nada en este mundo hubiera faltado.

Pourtant si hiératique la Dona de Villareal, veuve de Castilla se lâcha pour la sûrement première fois de sa vie .... elle serra sa fille dans ses bras après quelques gestes maladroits.

Aunque nos escribimos no pensaba que iba a quedarme lejos de vos este día. Gracias a su hermana pude estar aquí a tiempo. Su hermano está en la capilla, aquí solo son asuntos de mujeres.

Su prometido como lo sabe me hizo su demanda mandome uno de sus hombre y acepté por supuesto porque a pesar de todo un Conde de Provenza no es nada mal y tu pobre padre, qué el Señor guarde en su Santa misericordia, hubiera estado pero que muy orgulloso. Por fin es verdad que Vos también es Condesa y aunque vos es superior en título comparado a el y esto me llena de orgullo, me alegra saber tambien, que este joven Conde sea de sangre ibérica como nosotros.

¡ Ho Hija se le estan calledo las lagrimas ! Eso no se hace señorita tiene que ser fuerte !

¡ Diga me mi Hija ! Espero bien que guarde los preceptos que le inculqué: virginidad, orgullo y todo esto. Este día mi hija vos va a ser una mujer y nunca tendra que bajar la cabeza.

Elle ne put s'empêcher de rougir.

Pero eso si debera obediencia a su marido pero jamás olvide que vos es Hija de Don José Luis de Castilla, Condesa de Marignane! No te dejes jamás rebajar.

Se feliz Hija mia !

Elle lui donna sa bénédiction et la serra dans ses bras, après tout sa petite fille allait devenir une femme.

[ Traduction : Ho Ho ! Ma fille chérie ! Que le Seigneur vous garde en cette journée que je ne voulais manquer pour rien au monde.
...
Même si nous nous écrivons ne pensais pas que j'allais rester loin de vous ce jour. Grâce à Vostre sœur j'ai pu être là à temps. Vostre frère est à la chapelle, là ce sont des affaires de femmes seulement.
Vostre fiancé comme vous le savez m'a fait sa demande en m'envoyant un de ses hommes et j'ai bien sûr accepté car quand même un Comte de Provence ce n'est pas rien et Vostre pauvre père, que le Seigneur garde en sa Sainte Miséricorde, aurait été bien fier. Enfin c'est vrai que vous este Comtesse aussi et même si je comprend bien supérieure en titres et cela me rempli de fierté. Savoir ce jeune homme de sang ibérique comme nous tous est le sommet de ma joie crois-moi.
Ho vous avez des larmes aux yeux mais cela ne se fait point demoiselle vous devez être forte!
Dites-moi ! J'espère bien que vous avez gardé les préceptes que je vous ai inculqués : virginité, fierté et tout cela. Ce jour ma fillevous allez être une femme et jamais vous ne devrez baisser la tête.
...
Mais vous devrez obéissance à votre mari mais .... n'oublie jamais que vous êtes la fille de Don José Luis de Castilla et Comtesse de Marignane ! Ne te laisse jamais non plus rabaisser.
Sois heureuse ma fille ! ]

Nombre de messages : 11 Date d'inscription : 03/04/2010

La brunette sourit à Led et l'embrassa bien fort également.

Magnifique, magnifique, faut le dire bien vite ça, ma belle ^^

Elle pouffa puis la laissa courir voir les nouveaux arrivants.
De son côté, elle entra dans la chapelle et alla saluer Mielle, Joel et Federer de plus près.
Puis, voyant Guirre et Ysabelle entrer, elle sourit et leur fit un graaand signe de la main - à peine discret, bien sûr - et se dit qu'elle irait les saluer après la cérémonie.

En attendant...béh...elle s'assit. Elle s'assit et attendit, son regard ambré analysant chacune des têtes qui pénétraient dans la chapelle.
- Connaît ? Connaît pas ? Oui...Cui-là, jamais vu. Et elle, là bas ? Oh...pff..je m'en souviens pas...et lui là ? .....
Le jeu visuel continua sur cette lancée durant un moment encore.

Nombre de messages : 24 Date d'inscription : 14/09/2011

Dans l'appartement ou la fiancée se prépare

Nathy était pensive, anxieuse et elle était là debout dans le vague à se laisser faire aux bons soins de sa dame de compagnie et ses servantes. On lui arrangeait sa coiffure et lui réajustait sa coiffure. Elle l'imaginait déjà lui son bel et tendre amour devant l'autel avec ces yeux bleus transperçant d'amour et de bonté, quand tout à coup, elle n'en revenait pas... Une voix oh combien familière l'arracha avec douceur de sa douce rêverie et c'est doucement qu'elle se retourna avant d'aller se jeter littéralement dans les bras de sa mère...

Madre que felicidad me da ! No sabe cuanto la he estrañado, cuanto la he necesitado... Cuanto la quiero. Que ganas tendo de abrazar mi hermanito que ya debe estar grande... Que bella esta Madre.

Nathy la serra délicatement dans ses bras et respira ce doux parfum qui avait bercé sa tendre enfance. Elle ferma les yeux et cet arôme éveilla le souvenir de son père souvent enfermé dans son bureau et de Led qui déjà toute jeune parlait de politique dans le jardinet avec ses amies qui voyaient déjà qu'elle échappait au monde de l'enfance pour en faire une grande Dame. C'est ainsi qu'une larme vint ruisselet sur son visage rosie par l'émotion et sa mère la reprit.

Elle lui sourit, les années ne l'avaient pas changé, elle se tenait toujours droite penchées sur ses valeurs...

Si Madre ! Gracias Madre !

Devenir une femme ? Côté politique oui ! Mais côté chair, elle ne devait parler de ses choses, mais Nathy était terrifiée. se donner à l'homme de sa vie devait être un accomplissement de soit, une concrétisation et surtout le bonheur de fonder une famille. Mais Nathy du haut de ses dix neuf ans avait peur.

Puis prenant la main de sa soeur dans la sienne, puis celle de sa mère, elle les fixa... Las quiero con toda mi alma.

Bueno ya estoy lista, creo que mi prometido debe estar nervioso e impaciente... Vayan delante las sigo...

[Traduction : Mère quel bonheur vous me faites ! Vous ne savez pas combien vous m'avez manqué, combien j'ai eu besoin de vous... Combien je vous aime. J'ai tellement envie de serrer mon petit frère entre mes bras, il doit être si grand. Que vous êtes belle Mère.
Oui Mère ! Merci Mère !
je vous aime de toute mon âme.
Bon je suis enfin prête, je crois que mon fiancé doit être nerveux et impatient... Précédez moi, je vous suis. ]

Comte d'Apt Nombre de messages : 610 Date d'inscription : 01/10/2008

Le calme installé, le Cardinal vit revenir ensuite la mère de la mariée et la Comtesse Led et la jeune fille et il commença son office.

Mes frères, mes sœurs, enfants du créateur bienvenue en la Chapelle Saint Gabriel d'Apt. Nous sommes réunis ce jour pour célébrer l'union de Nathy de Castilla et Alberto de Monte Cristo, deux jeunes gens profondément amoureux l'un l'autre. Ils ont souhaité prouver leur attachement devant le très haut, et le consacrer. Je vais donc consacrer leur union devant le Très Haut.

J'invite ainsi tout d'abord le fiancé à me rejoindre.

Il fit le geste à Alberto de le rejoindre au pied de l'autel.

Nombre de messages : 1 Date d'inscription : 27/05/2012

Très long a été le voyage pour les nobles valenciens qui se sont dirigés vers le château d'Apt depuis leurs terres, en désirant se présenter à ce mariage, si éminent et transcendant pour les Royaumes méditerranéens, inclus pour les ibériques. L'assistance de catalan était prévue, et une sécurité aussi un diplomate des autres cours voisines s'ajouterait à l'événement. De sa part, et les siens, ils avaient retardé un peu plus qu'espéré, ils aspiraient à représenter plus adecuadmente au Royaume de Valence, qui avait instauré une amitié particulière avec le Marquisat, auquel ils étaient plusieurs à admirer.

Les valenciens portaient tout ce qui correspondrait à toute suite : des drapeaux avec les symboles de leurs Maisons et ses blasons, des écuyers et des chevaux. Les étendards ondoyaient en haut, fiers et pittoresques. Leurs porteurs arrivaient entre des rires et avec la propre joie d'une telle célébration Bien qu'ils se soient accompagnés d'un nombre relativement réduit de personnes, ils avaient essayé de prendre soin de ces détails, et celui de Xàtiva avait transmis l'invitation à la noblesse, qui faisait plus bruit que les autres plus discrètes et nombreuses : ainsi ils étaient valenciens, un brio pur et une fureur.

Il descendit de son coursier, et aida son épouse Ederne à descendre de la voiture où elle voyageait, en lui devant séparer de lui puisqu'elle ne pouvait pas chevaucher par sa grossesse avancée... et le Borja devait porter les enseignes de sa Maison et incarner la monture, sur le coursier : s'ils le voyaient en sortant d'une voiture, peut-être ils croiraient que les valenciens ne montaient pas : et comme il allait permettre penseront-ils cela ? Non, non, il devait aller à des dos de son cheval, comme il correspondait. Il a profondément respiré, en inhalant l'air pur qui remplissait ses poumons.

Prenant par la main son épouse, et en se retournant pour s'assurer que la Duchesse Rose, la Comtesse du Vega et de Monsieur de Picassent étaient là, il accèdent tous à l'église.

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Largo fue el viaje para los nobles valencianos que se encaminaron al castillo de Apt desde sus tierras, deseando acudir a aquella boda, tan relevante y trascendental para los Reinos del mediterráneo, incluso para los ibéricos. Estaba prevista la asistencia de catalanes, y seguro también algún diplomático de las otras cortes vecinas se sumaría al acontecimiento. Por su parte, el y los suyos, habían demorado un poco más de lo esperado, mas aspiraban a representar adecuadmente al Reino de Valencia, que había entablado una particular amistad con el Marquesado, al que ciertamente muchos admiraban.

Los valencianos llevaban todo lo que correspondería a cualquier comitiva: banderas con los símbolos de sus Casas y sus blasones, escuderos y caballos. Los estandartes ondeaban en lo alto, altivos y pintorescos. Sus portadores llegaban entre risas y con la alegría propia de una celebración tal. A pesar de tratarse de un número relativamente reducido de personas, habían intentado cuidar de aquellos detalles, y el de Xàtiva había trasmitido la invitación a la nobleza, que hacía más ruido que otras más discretas y numerosas: así eran los valencianos, puro brío y furor.

Se apeó de su corcel, y ayudó a su esposa Ederne a descender del carruaje donde iba, debiéndose separar de él pues no podía cabalgar por su avanzado embarazo...y el Borja debía llevar las enseñas de su Casa y encarnar la caballería, sobre el corcel: si le vieran saliendo de un carruaje, quizás creerían que los valencianos no montaban ¿y como iba a permitir pensaran eso? No, no, él debía ir a lomos de su caballo, como correspondía. Respiró profundamente, inhalando el aire puro que llenaba sus pulmones.

Tomado de la mano de su esposa, y volteándose para cerciorarse de que la Duquesa Rose, la Condesa de la Vega y el Señor de Picassent estaban ahí, ingresó en la iglesia.

Nombre de messages : 1 Date d'inscription : 27/05/2012

Enfin, dans la terre de Provence - murmurant la servante qui m'a accompagné dans la voiture. Par la fenêtre je pouvais voir que la terre et la poussière causés par des chevaux au galop, la procession
Aidez-moi avec la robe dit la jeune fille - Je pense que nous allons bientôt
La jeune fille entra et d'accommoder les plis de sa robe pliée essayé en vain que ceux-ci s'étendra.
Lorsque le cortège s'arrêta, acicale mes cheveux et de toucher mon ventre bombé, en souriant, le chemin était long, mais les bébés s'était comporté très bien pour un long voyage.

J'espère juste que les enfants nés sans cérémonie pleine - dit, avant de la portière ouverte - je suis une grosse baleine et je peux à peine bouger - je me suis déplacé mes gants et des chuchotements juste au moment où le visage de Nicolas est apparu par la porte ouverte - aidez-moi de se déplacer fille!
Avec la difficulté inhérente de mon état, descendu de la voiture et voir mon mari - et j'ai manqué mon amour - la prochaine fois, je vous promets que vous ne pas être enceinte pour gagner votre circonscription sur mon cheval - J'ai souri et lui baisa le bout de son nez, Nicolas a suivi ses yeux et je pouvais voir les autres dames descendent de la partie

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Al fin, en tierras de Provenza – musite a la doncella que me acompañaba en el carruaje. Por el ventanuco pude ver dichas tierras y una polvareda provocada, por los caballos al galope, de la comitiva
Ayudame con el vestido -dije a la doncella - creo que llegaremos en breve
La muchacha se acerco y acomodo los pliegues doblados del vestido intentando infructuosamente que estos se estiraran.
Cuando la comitiva se detuvo, acicale mis cabellos y toque mi abultado vientre sonriendo, el camino había sido largo, pero los bebes se habían portado bastante bien para un viaje tan largo.

Solo espero no nazcan los niños en plena ceremonia – dije, antes que la puerta del carruaje se abriera – me siento una gran ballena y apenas puedo moverme – moví mis guantes y susurre justo cuando el rostro de Nicolás se aparecía por la puerta abierta - ayudadme a moverme niña!
Con la dificultad propia de mi estado, descendí del carruaje y observe a mi esposo - ya os extrañaba amor mío – la siguiente vez, prométeme que no estaré embarazada para ganaros a lomos de mi corcel - le sonreí y bese la punta de su nariz, seguí la mirada de Nicolás y pude ver como descendían el resto de señoras de la comitiva

Nombre de messages : 2 Date d'inscription : 25/05/2012

Vicenzo Dantès de Monte Cristo había echo un largo viaje para estar cerca de su único hijo en este día sagrado. La emoción era casi palpable pero el dolor también inmenso al no poder compartir este día con la madre de su Alberto ya que esta estaba en el monasterio donde las monjas le daban los mejores cuidados.

Provenza era sin ninguna duda, un lindo lugar bordado de mar por donde Vicenzo había viajado un largo tiempo para estar aquí en esta linda capilla decorada con el mejor de los gustos. Como se notaba que eran los detalles y el toque de una mujer con gusto. El entro bajo la mirada de los desconocidos que estaban aquí era sin ninguna duda gente de bien como siempre Alberto tenía el don de saber elegir su entorno. Quizás la gente lo miraba porque Alberto era clavado a el, la misma cara, la misma mirada, solo que por el habían pasado los años.

Al llegar cerca de su hijo le sonrió y le dijo... Hijo mío a mis brazos! Sin dejarle tiempo a nada lo abrazo. Que feliz estoy de estar aquí contigo para compartir este día feliz en tu vida.
Le sonrió con mucho cariño. Siento que tu madre no pudo venir, pero como ya sabes su salud es delicada desde ciertos meses.

Oyendo que lo llamaban le dijo. Mi Hijo parece que ya tienes que dar el gran paso. Que sepas que tu padre esta aquí para lo que haga falta. Eres el orgullo de mi vida. Gracias por hacernos feliz à tu madre y a mi ilustrísimo Conde.

Y en un último abrazo por el momento lo dejo ir frente al cardinal.

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Vicenzo Dantès de Monte Christ avait fait un long voyage pour être près de son unique fils en ce jour sacré. L'émotion était presque palpable mais la douleur aussi immense par le fait de ne pouvoir partager ce jour avec la mère de son Alberto puisque cette dernière était dans le monastère où les religieuses lui donnaient les meilleurs soins.

La Provence était sans aucun doute, merveilleux endroit bordé par la mer sur laquelle Vicenzo avait voyagé un long moment pour être ici dans cette jolie chapelle, décorée avec le meilleur des goûts. Comme il se remarquait que c'était les détails et la touche d'une femme avec goût. Il entra sous le regard des inconnus qui étaient présents. Il étaient sans nul doute des gens de bien. Comme toujours Alberto avait gout de savoir s’entourer. Il se disait que peut-être que les gens le regardaient parce qu'Alberto était identique à lui, le même visage, le même regard, simplement, les années étaient passées par lui.

Après être arrivé près de son fils il lui sourit et lui dit... Mon Fils à mes bras! Sans lui laisser le temps de quoi que ce soit il le prit dans les bras. Que je suis heureux d'être ici prêt de toi.

Il lui sourit avec beaucoup d'affection. Je suis désolée que ta mère n'ait pas pu venir, mais comme tu sais déjà sa santé est délicate depuis certains mois.

En entendant qu'ils appelaient son fils, il lui dit. Mon Fils il semble que tu doives déjà donner le grand saut. Saches que ton père est ici pour ce qu'il faut. Tu es la fierté de ma vie. Merci pour de nous rendre heureux ta mère et moi, mon Illustre Comte.

Et dans une dernière embrassade pour le moment il le laissa rejoindre le Cardinal.

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