Anoblissement d'Yluxe de Cianfarano

[Apt] Appartement d'Agadir.

Après avoir reçu une missive d'Yluxe pour son Anoblissement, avec un grand sourire le jeune Homme alla diréctement mettre son plus beau costume, un Merveilleux jour, pris son verre de Pastaga sur la table et le bu cul sec et commence à s'habiller ...

Et de prendre la diréction de la salle de bal ..


[Apt] Salle de bal.


Arrivée de vant la salle de bal, Agadir s'arrêta quelques minutes pour penser .... Puis entra dans ladite salle où il vit pleins de monde qu'il connaissez ..

S'approcha D'Yluxe, la futur anoblie : Bonjour Yluxe, vous êtes ravissante en cette merveilleuse journée Lui fit un sourire et ce dirigêat vers Gabcha ..

Bonjour Mon Ami Gabcha, je te vois beaucoup en ce moment tu trouve pas ? j'en suis heureux .. après un sourire il alla saluer, Pillon, Yu, Loveane, Vero Le Beau soleil ^^

Puis s'approcha de la Marquise et la Comtesse, salua en premier la Marquise, Le Baron lui fit un Baise Main tout en fléchissant les jambes, Bonjour Votre Majesté, jespère que vous, vous portez bien ? .. et salua à son tour la Comtesse .. bonjour Votre Grandeur Illustre dit il

IL n'oublia pas son Parrain et Comte Archevêque d'Apt, le Grand maitre des lieux ^^ Bonjour Parrain, comment va tu ? lui dit Agadir pas trop fort ...

Yluxe a écrit:

Monseigneur...Elle est bien loin la taverne de Marseille où nous nous rencontrâmes. Je ne sais si vous vous en souvenez, tellement d'années ont passé! Je garde de cette rencontre un souvenir unique quoique un peu effacé. Mais peu importe. Je suis heureuse que ce soit vous le héraut aujourd'hui...

Eavan marqua un temps de surprise infime. Bon sang, quelle mémoire. La confusion de la sienne, de mémoire, se dissipa un peu, oui .. en effet, elle se souvenait de cette soirée ... de l'ame forte avec laquelle elle avait échangé. Seul le nom et le visage avaient fuit sa mémoire mais le souvenir était là.
Un sourire nostalgique étira ses lèvres et elle n'eut pas le temps de répondre à Yluxe que déjà la Dame était prise d'assaut par les personnes présentes. Eavan s'effaca pour aller rejoindre le maitre des lieux. Au passage elle aperçut Véro. Le soleil de Provence. Voilà qui peut être parviendrait à illuminer sa journée.

Allons prendre son courage à deux mains et s'appliquer au mieux. Yluxe méritait un annoblissement sans cafouillage de sa part. Elle ne se pardonnerait pas un écart.
Arrivant enfin proche du Comte d'Apt.

Monseigneur, nous pouvons commencer si vous le désirez.

Un regard en direction d'un coin de la pièce, Felipe avait tout ce qu'il lui fallait dans les bras. Le pauvre jouait le role de son aide. Dans tout les domaines. Aussi habile dans ces bains de foule mondains qu'au milieu d'un campement militaire, aussi fiable en transport d'apparats nobiliaires qu'en mettage d'armure. Elle avait de la chance de l'avoir.
Son attention se reporta sur l'archevèque.

Je n'attend plus que votre ordre.

Léger sourire.
Il fallait faire mine de ... Elle n'était pas à l'aise. Loin de son élément ... Loin du seul qui parvenait à lui faire oublier le reste. La guerre se mettait toujours en travers de ses projets, bien prompte à les ralentir dès qu'ils touchaient à leur but.
Léger sourire.
Cette cérémonie serait belle. Et dans les règles.

Des visages connus dans tout les sens. L'archevêque commençait à avoir l'habitude des grandes fêtes à Apt. Dès qu'un petit repas était prévu, il virait en réception, alors quand une cérémonie était prévu, c'était forcément démesuré.

Un visage et une rencontre parmi tant d'autres, l'archevêque aperçut particulièrement Monseigneur Eavan. L'archevêque lui adressa un franc sourrire. Cette femme était étonnante au yeux de l'archevêque. Elle avait un courage, une franchise et une force peu commune. Le courage, bien évidemment puisqu'elle était à la tête de la Garde Épiscopale, et donnait tout pour la défense de la Foy et de la Provence. La force, la force d'avancer envers et contre tout, envers les mauvaises langues et dieu qu'il y en avait. Enfin la franchise, l'archevêque en avait parfois fait les frais. L'ennuyant c'est qu'à chaque fois, les reproches adressés étaient justifiés, du coup l'archevêque appréciait d'autant plus cette femme. Il avait plutôt l'habitude de recevoir des plaintes injustifiées, et du coup avoir quelqu'un qui se plaignait d'une juste faute, présentait à l'archevêque une femme de valeur.

Monseigneur, merci infiniment tout d'abord pour être venue, c'est un véritable plaisir de vous recevoir, et merci aussi de vous être proposée en tant que Maistre d'Armes, c'est un honneur.

Lorsque la jeune femme déclara que l'on pouvait commencer, l'archevêque acquiesça. Monseigneur, allons y. Je vous laisse commencer je suppose ?

L'honneur est pour moi Monseigneur. J'eus préféré ne pas vous faire patienter.

Eavan opina, il fallait commencer. Ne sachant trop comment Ludovi de Sabran souhaitait organiser spatialement la cérémonie dans la pièce, elle lui laissa quelques minutes pour se faire, afin que cela ne soit pas trop ... chaotique.
Ci fait, la jeune femme inspira profondément et se racla la gorge discrètement avant de clamer d'une voix forte ses mots. Après tout c'était le boulot du Héraut que de clamer.


Nobles gens, Dames et Messieurs.

La cérémonie de transmission du fief de Bonnieux, soumis à la suzeraineté du Comté d'Apt et de son Comte, du regretté Rethy de Cianfarano à sa veuve, Yluxe, selon le souhait de Monseigneur Ludovi de Sabran, Comte d'Apt va commencer.

La Maitre d'Armes marqua une pose. Elle reprendrait une fois que chacun serait à sa place.

Une main papillonne, lui attire l'œil, suit le mouvement s'envole vers le sourire qui l'accompagne, reconnaissance, l'œil s'éveille, s'allume, la tête hoche lentement et les rides s'accentuent. N'aborde pas mais consciente de sa présence s'en empreigne et puise chaleur.

Une main encore, se pose sur son bras, le parfum avant coureur inimitable l'enveloppe, l'instinct opère avant la pensée, ses bras s'enroulent autour de la taille, étonnée de sentir le peu qui en reste.. éthérée diaphane..l'amie, la peau douce sous ses lèvres qui lui frôle la joue, chaude .. vivante, les yeux clos encore un instant la gorge nouée, verre grossissant la voix chuchotée qui lui demande si les fantômes sont encore parmi nous...délaisse la joue et souffle sur les cheveux l'oreille tout près.

Oui... oui Yluxe tout va aller bien...très bien même

S'en éloigne d'un pas glissant sa main dans la sienne et lui laisse constater la véracité de ses dires, légèrement gênée du regarde scrutateur décroche le sien qui tombent sur...

Deux mains jointes qui se dirige prestement vers eux.
Le dernier, le benjamin...le meilleur des deux mondes, l'embrasse avec grande tendresse.

Mon Homme...

Salut intemporel qui reste qu'importe ce qui arrive.
Accompagnée d'un douce demoiselle qui semble pour l'heure un peu enivrée. Le renouveau frémit

Sourire éclatant franc et confortable

Alors demoiselle Pillon je vous salut de tout cœur

suite le tracé des mains et prends celle de Pillon dans celle restant libre, serrant légèrement celle d'Yluxe dans l'autre à l'annonce que tout semble prêt pour la cérémonie..écoute les conseils ému de Gabcha envers la futur adoubée et ne rajoute rien. Hoche la tête en acquiesçant et relâche la ronde pour se rendre ou il le désire avec grande joie et.. fierté.

Et Pillon de se faire entraîner vers une dame. Une jolie dame.

Pillon, je te présente mon Homme, Véro!

La blondinette fronça les sourcils lorsqu'il prononça les mots "mon Homme". Elle ne comprit pas. Elle avait l'air bel et bien femme, pourtant... un travesti ? Il allait falloir éclairer ça. Mais plus tard. Oui plus tard. Là il fallait saluer, sourire, essayer de retenir sinon le nom au moins les visages de tout ce beau monde.

Alors demoiselle Pillon je vous salut de tout cœur

Et pourtant sa voie était bel et bien femme. Que penser ? Étrange...

Bonsoir dame Vero, et merci. *sourire*

Pillon écouta ensuite son père discuter avec la grande dame qui l'avait interpellée quelques instants plus tôt. D'après ce qu'elle put comprendre, il s'agissait bien de la Dame qui allait se faire anoblir. Elle était assez impressionnée. Elle ne savait que dire... donc ne dit rien. Peut-être valait-il mieux, avant de faire des bêtises...

Lorsqu'ils s'éloignèrent du groupe et qu'ils se retrouvèrent seuls, le temps d'aller rejoindre leurs places, Pillon en profita pour lui poser des questions, à voix assez basse, histoire que les gens n'entendent pas ses questions, qui pour eux devaient vraisemblablement paraître évidentes, ce qui n'était pas son cas à elle. Elle ne savait pas grand chose, en réalité. Elle était toute petite à côté.
Dis moi papa, qui est cette dame, Yluxe ? c'est bien ça ? dis m'en plus sur elle... Et Vero... pourquoi dis tu que c'est ton homme ? C'est une travestie ? diiiis.